Il est temps de finir cette série d’articles sur Londres, sinon tout le monde va faire une overdose ! Et comme j’aime bien l’exercice, je vous propose de faire un petit bilan.
Ce voyage c’était (je pense que vous l’avez compris) mon premier voyage toute seule. Et honnêtement j’avais vraiment peur. Peur de quoi, je ne sais pas vraiment. Peut être que je me suis beaucoup mis la pression, je ne voulais pas « me vautrer », je voulais que ce soit une réussite. Me prouver qu’après tant d’années à lutter, à me battre, à « m’arracher » comme je dis souvent, eh bien je pouvais relever la tête, me regarder dans un miroir et ne plus avoir honte.
Donc oui, je m’étais un peu mis la pression (comme d’habitude) 😉 .
Je ne sais pas faire autrement pour supporter la pression que de tout calibrer. Alors j’ai essayé de tout planifier, de penser à tout, de tout mettre en œuvre pour ne pas avoir de regrets, pour en profiter au maximum. Et honnêtement, je crois que j’ai vu tout ce que je voulais voir, que j’ai fait de chouettes rencontres.
Oui c’était des vacances marathon et peut être que j’aurais pu me laisser un peu plus de temps libre pour flâner, pour découvrir en ayant moins les yeux sur la carte. La prochaine fois. Je n’étais pas encore prête pour tout lâcher.
Le principal, en fait, c’est que je suis contente. Je suis fière. Et quand je pense à ce voyage, oui j’ai un peu les larmes qui me montent aux yeux, mais ce sont des jolies larmes de bonheur.
Voilà ce que je retire de ce voyage.
Du bonheur ! 🙂
Mais dites-donc, on n’aurait pas oublié quelque chose ? Vous ne croyez quand même pas que je suis revenue les mains vides quand même ?Je ne suis pas une grande shoppeuse. Quand je suis partie à Bali, j’ai juste ramené un bouddha et un sarong. A Londres j’ai été un peu moins frugale…
Première catégorie : la papeterie. Le kit et les deux stylos viennent de chez Papperchase. La gomme vient des Kew Gardens.
Deuxième catégorie : les fournitures. Deux coupons de cuir achetés au Spitalfields market.
Troisième et dernière catégorie : les livres. En haut à gauche, il vient des Kew gardens (sans blague ?), celui juste à côté vient du Geffrye museum. En bas à gauche, il vient du Tate modern et celui à droite vient du London review bookshop je crois (j’ai un doute, j’avoue).
Je n’ai pas ramené de vêtements, rapport au peu de temps que je me suis accordée pour flâner. Ce sera sans doute pour le prochain voyage.
Voilà pour ce petit bilan voyage et shopping, le blog va pouvoir reprendre une ligne éditoriale normale. 😉
Bonne journée !
Ah oui ! Sympa les souvenirs ! J’aime beaucoup le rose du cuir, et le livre 101 Ways to make more space, c’est généralement le genre de titres qui m’intéresse (de là à réussir l’application par contre…) 😉
Je suis en tous cas vraiment contente que tu aies aimé voyager seule !
Gros bisous !
Les coupons de cuir étaient vraiment superbes, j’ai mis un temps monstrueux à me décider (car que 30£ en poche et 10£ le coupon tu vois), mais ces deux couleurs me plaisaient vraiment… Y’a plus qu’à m’en occuper !
Le livre est vraiment chouette, par contre les astuces qui me tentent le plus ne sont pas envisageables quand on est propriétaires. Enfin, je n’ai pas encore tout décortiqué, pourtant il pourrait bien m’être utile !
Et moi je suis très contente de l’avoir fait ! Merci pour le coaching, les encouragements et les bisous 🙂
Gros bisous à toi aussi !
A quoi ça sert les coupons de cuir ??
En tout cas, on est l’inverse (bizarre ;)) concernant les souvenirs… J’ai tendance à ramener des tas de trucs et en plus, je me suis fait une nouvelle tradition : ramener un aimant à chaque vacances passées « ailleurs » depuis l’an dernier : Québec et Pays Basque ! prochaine étape ? Les triskell bien sûr !
Les coupons de cuir, c’est comme les coupons de tissu, tu t’en sers pour fabriquer ce que tu veux dedans. Par exemple, avec un coupon de cuir je peux fabriquer une trousse.
En gros, « coupon » c’est le mot de couturière pour dire « morceau »
Non moi les souvenirs je préfère les avoir dans la tête ou les albums photos. Avant j’achetais plein de souvenirs dont je ne faisais jamais rien et qui prenaient de la place. Maintenant que je vois par moi même à quel point l’espace se remplit vite, je rationalise : que des trucs utiles et qui me plaisent !