Parfois le bonheur tient à peu de choses : un petit rayon de soleil de bon matin, un petit thé sur le balcon, un peu de douceur arrivé là on ne sait trop comment…
Et une journée qui commence sous le signe des petits plaisirs accumulés comme autant de trésors…
J’ai toujours aimé les articles de papeterie. Depuis toute petite, j’aime les stylos plumes, les jolis papiers, les stickers, les paillettes. J’ai souvent fait les yeux doux à mes parents pour qu’ils m’offrent un journal intime un peu joli (j’en avais un rose, les pages étaient parfumées !) et par la suite, avec mon argent de poche, entre deux vernis, je m’achetais des crayons à encre gel pailletée (je me rappelle avoir envoyé une carte à mon frère et à ma belle sœur écrite en bleu et rose pailleté 🙂 ), de belles cartes postales, etc. A l’époque, l’écriture était encore le moyen privilégié pour donner des nouvelles (et parfois, en recevoir).
Avec l’avènement de « l’âge adulte » et surtout des premiers salaires, j’ai quelque peu élargi le spectre de mes objets de convoitise (aux loisirs créatifs tels que le tricot par exemple) mais je continuais à passer 3 heures dans les papeteries (pour envoyer de jolis courriers depuis le Canada, déjà à Poppy, mais aussi à ma famille) ou à fouiner sur Internet à la recherche de beaux papiers et consorts.
Tout cela pour dire que je ne sais plus comment je suis arrivée sur la boutique Anyday Lovely, mais que j’ai tout de suite adoré les produits proposés. Il n’y a pas 23 tonnes de choix, mais tous les produits me semblent sélectionnés avec beaucoup de goût, une belle sélection de couleurs, de designs, de motifs.
Du coup, en cette période de soldes, je me suis offert un petit plaisir. J’ai fouiné, cherché, mis plein d’articles dans mon panier, j’ai comparé, j’ai réfléchi.
J’ai donc fait une petite commande, et je me suis acheté :
du papier à lettres (on n’a jamais trop de joli papier à lettres, et puis ça permet de varier !)
de jolis trombones tortues (je pensais m’en servir pour l’un des smash books, à voir) (de toute façon c’est joli, j’aime les tortues, donc c’est forcément un bon achat)
un joli rouleau de scotch (là aussi pour le cahier d’inspiration, mais peut être aussi pour le smash book)
un très très beau journal intime dont je suis complètement gaga (cf. photos ci-dessous)
Résultat des courses ? 20€ très bien dépensés, frais de port inclus. Le tout est arrivé en deux jours chez moi, bien emballé, avec plein de jolies couleurs. Un paquet mignon et girly comme je les aime !
Et donc, mon coup de cœur de la commande, le (petit) journal intime ! Il est vraiment très très réussi, je l’aime beaucoup beaucoup.
En fait, le plus chouette dans ce journal intime, c’est l’intérieur avec tous ces jolis dessins et designs !
Connaissiez-vous cette boutique ? Si vous ne l’avez pas encore découverte, je vous la conseille, il y a plein de choses très chouettes dedans !
Commençons par le commencement, si vous le voulez bien.
Il y a bientôt 4 ans, j’ai ma première attaque de panique. C’était le matin, je m’étais rendue au travail et je commençais à m’atteler à mes diverses tâches.
J’ai commencé à avoir des suées, la nausée. J’ai pensé à de l’hypoglycémie. Alors j’ai mangé des clémentines.
Mais ça passait pas. Ça passait tellement pas que je suis allée aux toilettes. 3 fois.
Les autres employés commençaient à arriver (moi j’étais responsable du bureau à l’époque). L’une d’entre elles me dit que j’ai pas l’air bien. A ce moment là, je me dis que c’est un petit coup de fatigue, que ça allait passer.
Et puis j’ai commencé à trembler. D’abord des mains, puis des bras, puis les jambes et en fait je tremblais de partout. Je faisais des allers-retours entre mon bureau et les toilettes. Ça faisait même pas 2 heures que j’étais là que déjà je commençais à me poser des questions, à envisager une maladie (je suis hypocondriaque et j’ai une peur panique de faire des malaises) (j’y pense environ 12 fois par jour, c’est dire l’obsession que c’est chez moi) (j’ai oublié de préciser que je n’ai jamais fait de malaise).
La collègue qui m’avait dit quelques minutes avant que j’avais pas l’air bien, m’a conseillé de rentrer après m’avoir trouvée tremblante et sanglotante dans le couloir. Elle a eu la gentillesse de me raccompagner chez moi : presque 30 minutes de trajet (dont la moitié de métro, le reste à pied) (je vivais à Montréal à ce moment là) dans un état pareil, seule, ça aurait été impossible pour moi.
Une fois rentrée chez moi, ma collègue (et amie depuis) m’a calmée et m’a conseillé du repos. Je me suis donc couchée. J’ai dormi (tenez-vous bien) de 10h jusque 15h le lendemain. 29 heures d’affilée (ou presque) ! (et en me levant j’étais décalquée…)
Cette crise a été la première d’une longue série de crises qui a duré un certain moment.6 mois quoi. Pendant ce temps, on m’a suspecté des trucs pourris (un cancer notamment) (dont je n’ai parlé qu’une fois, et où l’on m’a répondu « ouais mais c’est rien ça) (ça vaccine de parler de ses craintes) (mais bref, et heureusement, c’était une fausse alerte), j’ai du quitter mon travail, quitter ma vie, mes amis et mes habitudes, j’ai dû affronter le chômage, j’ai refusé une demande en mariage, je me suis fait larguer et mettre à la porte et j’ai eu un accident de voiture. En 6 mois, non seulement j’ai tout perdu, tout ce que j’avais difficilement construit, mais en plus j’ai du affronter cette maladie qu’est la crise de panique.
Oui c’est une maladie. C’est une maladie paralysante, une maladie qui était (et est toujours) peu connue et dont on a honte. C’est une maladie dont il est difficile de parler et c’est surtout une maladie que les proches ont du mal à appréhender. Difficile de se faire une idée de ce que c’est, de la douleur que c’est (physique et morale), des traitements (phytothérapie pour moi) et du suivi (psychothérapie par hypnose dans mon cas…) que cela nécessite*.
Tout ça pour vous dire que le livre/BD d’Olivia Hagimont(elle-même atteinte des troubles paniques) sur le sujet est très bien.
Déjà parce que c’est un livre dans lequel elle explique comment les troubles paniques lui sont tombés dessus, comment elle a essayé d’y faire face seule, son séjour à l’hôpital psychiatrique, les efforts qu’elle a du faire et comment, aujourd’hui, elle vit avec cela.
Le tout est présenté sous forme de BD, avec beaucoup d’humour. Car si c’est une maladie dont on ne guérit pas vraiment (on arrive à vivre avec, à calmer les crises), avec le recul, c’est vrai qu’il vaut mieux en voir les bons côtés, car il y en a !
C’est vrai que la première partie du livre (sous forme de BD) s’adresse sans doute plus aux personnes qui ont un proche qui vit cette maladie, parce qu’elle explique bien ce qui se passe, ce que l’on ressent, les épreuves à traverser. Ce qui ne m’a pas empêchée de beaucoup me retrouver dans certains passages (cf. page photographiée ci-dessus). Il y a aussi quelques petits conseils pour bien accompagner quelqu’un qui traverse une passe comme celle là.
La seconde partie du livre s’adresse surtout à ceux qui sont atteint des troubles paniques, en prodiguant des conseils. Elle est particulièrement bien faite, bien illustrée et bien argumentée. Elle peut d’ailleurs aider les proches à comprendre les outils et méthodes que doivent appliquer les personnes qui sont atteints de troubles paniques. Par exemple, on me regarde souvent avec des yeux ronds quand je fais mes exercices de respiration. Et pourtant, les exercices de respiration sont importants (et il n’y a rien de vraiment incroyable là dedans, il faut juste se poser 5 minutes pour respirer calmement quoi) !
Bref, un très chouette livre pour comprendre les troubles paniques et comment s’en sortir ou aider quelqu’un à s’en sortir. Limite je me tâte pour en offrir, c’est dire !
* Loin de moi l’idée de dire que mes proches n’ont pas su m’écouter ou m’épauler. Seulement, je pense qu’il est en effet très difficile de faire face à une maladie pareille quand elle touche une personne de son entourage. Je sais que certains ont été désemparés dans la mesure où j’étais incapable de parler, d’exprimer ce qu’il se passait. Cette passe a vraiment été difficile pour moi et mes proches, j’étais vraiment renfermée presque apathique. Et si j’en parle aujourd’hui (certes difficilement) c’est parce que je suis suivie. Ce n’est ni de la mauvaise foi, ni du caprice, c’est un vrai problème. Dont il est difficile de parler sans avoir honte, sans se sentir boulet, sans se dévaloriser. Voilà.
A la base, le programme de la journée c’était « cuisine, miam, soldes, piscine ».
Par la suite, on a dit qu’on se retrouverait à 13h en centre ville (pas cuisine donc).
Finalement, on s’est retrouvées à 14h49 (parce que Gazelle devait aller à la laverie et que mon bus est pas passé à l’heure prévue, donc elle a eu du retard, moi aussi, on était quittes) (de toute façon il y en a toujours une de nous deux qui est en retard, je suis sure que ça s’équilibre).
Une fois toutes les deux, on a attaqué en se disant qu’on n’avait pas grand chose à voir, qu’on ferait pas vraiment les soldes, blablabla…
Mouais…
Raté.
Pourtant ça partait bien. 1er magasin : Zara. Temps écoulé: 5 minutes et demie, juste le temps de voir qu’il n’y avait que des slims (et que si je restais là, j’allais sans aucun doute acheter une veste rose ou jaune fluo que j’allais jamais mettre) (ou une jupe plissée vert émeraude) (mais là Gazelle veillait au grain, elle a hurlé « Non ! » avant même que je décroche le cintre) (je t’aime copine, tu sais ?).
2ème magasin : Orcanta. C’est moi qui avait demandé. Il est hors de question que je fasse les soldes sans passer là bas, c’est une question de principes(et de remplissage du tiroir à sous-vêtements) (on sait jamais, des fois qu’il y aurait la guerre) (ou pas d’ailleurs).
L’avantage d’avoir une collection de sous-vêtements conséquente, c’est que tu as déjà plein de modèles en stock, souvent parfois le même modèle dans plusieurs coloris. L’inconvénient, c’est que tu as l’œil vachement affûté et une idée bien précise de ce que tu veux. Le plus d’avoir Gazelle avec toi, c’est que si c’est moche elle te le dit, mais si c’est bien, de suite, tu passes au niveau « je suis la plus belle » (pour aller danseeeeeeeeeeeer). La preuve, je suis persuadée que je suis méga canon dans mon maillot de bain (alors que j’ai 10 ou 15kgs en trop par rapport à mon moi idéal).
Ensuite H&M, rebaptisé Horreur et Malédiction par mes soins (et quand tu vois le monde là dedans, tu sais pourquoi je l’appelle comme cela). J’ai rien trouvé. Gazelle si. Alors je l’ai accompagnée aux cabines d’essayages, histoire de donner mon avis quoi. Il y avait une queue de 23kms, bizarrement je crois que c’est le magasin où on a le moins attendu pour essayer. Bien entendu j’ai donné mon avis sur tout, bien entendu au moment de payer on s’est mises sur la file où la caissière elle discute avec une copine mais elle encaisse personne, bien entendu on a dû bifurquer et bien entendu on a été toutes contentes d’avoir grillé 3 nanas parce qu’elles ont pas compris pourquoi on avait changé de file (la femme peut avoir des plaisirs très simples, qu’on se le dise).
On continue avec Camaïeu, on prend la même configuration que pour H&M et on recommence (sauf que Camaïeu c’est vachement plus clair comme magasin). Je crois qu’à ce moment là, avec Gazelle, on a commencé à envisager sérieusement l’idée du goûter.
Sauf qu’on est passé devant Sud Express. Le genre de boutique où je ne rentre que pendant les soldes. Et pourtant c’est petit (vraiment) tout le monde est comme un bulldozer à pousser tout le monde, du coup j’avais envie de mordre. N’empêche…
Je suis donc repartie avec deux débardeurs (une jupe pour Gazelle).
Ensuite on est allées goûter au Jardin des Thés, parce qu’avec tout ça, on avait faim un peu. Une carafe d’eau plus tard, j’avais mangé mon sorbet litchi-framboise et Gazelle sa Dame blanche. On se sentait d’attaque.
Alors on est allées à la Fnac.
Je ne sais pas pourquoi on persiste à aller là bas (ou à Virgin, enfin vous avez compris). A chaque fois, on ressort avec un truc (et 5 kilos de plus au bout des bras). A ce moment là, je crois que c’était la 5ème fois (une fois à chaque magasin donc) que Gazelle me disait qu’elle faisait du repérage, mais qu’elle achetait pas. Je sais pas qui elle essayait de convaincre, mais à voir à quel point on était déjà chargées toutes les deux c’était évident que c’était pas crédible. Mais je crois sincèrement qu’elle avait encore un peu d’espoir.
Et puis on est allées à Séphora.
Comment dire…?
Aller là bas quand on cherche rien déjà ça ne présage rien de bon quant à l’issue. Mais quand on cherche quelque chose (des trucs pour le bain dans mon cas) (ah bon ?), c’est encore pire. Là, le glas a sonné (3 fois) (ah non, ça c’est le train).
On a bien essayé de poursuivre, elle avec sa hanche en vrac, moi avec les cervicales qui voulaient voir jusqu’où elles pouvaient se vriller (#mamies), mais finalement, on s’est assises sur le trottoir pour goûter (oui, encore) (en fait j’ai mangé un biscuit, le sorbet il était loin, mais loin !) (Gazelle, elle, elle a pas goûté bizarrement). On s’est regardées, et on a vite compris à nos regards un brin bovins que la piscine, ça allait pas être possible (sauf si on arrivait à se téléporter, mais ça n’a pas marché).
Alors on est rentrées, chacune chez soi. Le premier truc que j’ai fait en arrivant, c’est m’affaler sur le canapé.
Et puis après, je me suis dit : « Et dire que t’as déjà acheté sur le net un maillot de bain, 2 jeans, 2 pantalons, 2 robes, 3 hauts et 3 paires de chaussures ».
2012 va être un bon cru pour les soldes, je le sens. Par contre, si le soleil revient, le week end prochain, c’est piscine.
Voilà.
PS : Le compte-rendu de Gazelle est disponible là.
Vraiment, je crois que cette souscription est l’une des meilleures idées que j’ai pu avoir depuis quelques temps. Je suis toujours autant ravie de ce que je trouve dans ma boite aux lettres grâce au lovely dozen. en plus le « timing » est bon, vu que je reçois systématiquement le paquet lorsque je suis en période de fatigue.
Alors à chaque fois, c’est un peu la même rengaine. J’ouvre la boite aux lettres, je vois le paquet, je souris comme une gamine, je monte les escaliers en scrutant l’enveloppe, j’arrive dans l’appartement, je pose le paquet sur le canapé… Et j’attends.
J’attends d’être détendue et réceptive. Alors je fais mes petites affaires et quand je me sens dispose, j’attrape mon appareil photo, je m’assois par terre devant mon canapé (super logique) et je prends un temps infini à tout regarder, déballer sans rien abîmer (enfin, autant que faire se peut !), scruter chaque objet, le tâter, le soupeser, l’examiner sous toutes les coutures…
Et pour cette édition, de gauche à droite:
le petit paquet rose, ce sont des feuilles de tissu autocollant (je crois que ça s’appelle fabric sticker)
le petit rouleau, c’est du masking tape à pois vert
le petit paquet marqué « plain marker » ce sont des petits post-its trop mignons, en forme de pot avec de la lavande (mais ce n’est pas parfumé)
le petit truc avec la moustache, je pense que c’est un décalcomanie mais je n’en suis pas sure
et enfin tout à droite, un étui à téléphone portable, super joli (je fonds pour le bouton en forme de cœur)
Je me demande bien ce que réserve le mois de juillet… En tout cas, une chose est sûre : j’ai hâte !
J’en ai parlé, j’ai essayé plein de choses, et, finalement, les voilà, ils sont posés !
Quand j’ai vu le résultat, j’en ai pleuré tellement c’était beau. D’ailleurs je n’en reviens toujours pas que ce soit si beau.
Bon, bien entendu, au moment de les prendre en photo, je n’ai pas su comment m’y prendre (je ne sais toujours pas d’ailleurs) (je suis preneuse de tout conseil sur la prise de rideaux en photo, merci). Alors j’ai fait avec les moyens du bord.
Mes photos ne rendent pas du tout compte de la beauté du rendu, des couleurs et de la luminosité apportées par les deux panneaux latéraux roses (raccord avec le canapé oblige) et les deux panneaux centraux blancs ajourés.
C’est beau. Je suis contente. Je pourrais passer ma journée à regarder mes rideaux et la lumière qui passe au travers. J’aime.
Un peu de couleur et de douceur, un peu de satisfaction après tant de frustration et d’énervement, vraiment c’est bon à prendre.
Et pour ceux qui s’interrogent, la totale vient de chez le suédois, Ikéa, of course.
Lorsque j’étais pré-adolescente, j’avais comme amie une brune aux yeux marrons avec un succès plus que certain auprès de la gent masculine (ce qui n’était pas mon cas) (de toute façon mon frère aurait étripé n’importe quel homme qui se serait approché de moi à l’époque). Cette fille, loin d’être satisfaite de ses (nombreux) prétendants, nourrissait un complexe énorme vis à vis de ses yeux marrons. Elle aurait voulu avoir les yeux bleus, elle pensait que ses yeux marrons nuisaient à son charme.
Quelle ne fut pas ma surprise en la voyant arriver un jour avec les yeux bleus ! Elle avait acheté des lentilles de contact colorées, et toute fière de ses nouveaux yeux, elle voulait tester son « nouveau » pouvoir de séduction. Qui, bien entendu n’avait pas failli.
Bref. On en a profité pour discuter, et je lui ai avoué que moi je n’aurais pas voulu avoir des yeux bleus ou verts, mais des yeux gris.
Et, même après cette conversation, j’avoue que je n’avais pas pensé sauter le pas et m’offrir des lentilles de couleur pour voir ce que cela pourrait donner. Jusqu’à ce que Mathilde de Mister Spex (site qui propose, entre autres, des lentilles de contact en ligne), me propose de me faire tester des lentilles. J’ai donc choisi des Freshlook one-day color (sans correction, mais elles existent avec, hein) (sauf que moi, je ne me rappelais plus de celle dont j’ai besoin alors…).
Dans la boite, il y a 10 petits étuis avec la lentille et du liquide stérilisé. Soit 5 jours de lentilles, puisque les lentilles ne se gardent qu’une journée. L’avantage, c’est qu’il n’y a pas besoin de produits d’entretien particuliers, seulement de suivre des règles d’hygiène pour pouvoir les porter sans risques.
Mais avant de vous montrer ce que cela donne avec les lentilles, ce serait pas mal que je vous montre la couleur de mes yeux au naturel, non ?
Ici mon œil droit, au naturel, pris en photo avec mon téléphone, dans une salle de bains et à la lumière artificielle.
Ici l’œil gauche, pris en photo avec l’APN, à la lumière naturelle (sans épilation des sourcils, mais avec les imperfections de peau, au naturel quoi). J’ai donc des yeux marrons, plutôt jolis je trouve. Enfin, je n’ai jamais fait de complexe tonitruant vis à vis de mes yeux (j’en ai bien d’autres !). D’ailleurs, je n’ai pas le souvenir de quelqu’un dénigrant mes yeux.
Et donc avec les lentilles et à la lumière artificielle, voici ce que cela donne. Les yeux sont beaucoup plus clairs, gris bleutés, et paraissent tellement plus grands ! J’ai été surprise de constater que finalement… Ben ça m’allait plutôt bien !
J’ai d’abord essayé les lentilles un dimanche, pour m’habituer à les mettre, à les porter et à me voir avec les yeux gris. Puis je les ai portées lors de mon déplacement professionnel à Bordeaux et enfin samedi dernier, pour voir des amis. Alors bien sûr, les gens qui me connaissent ont bien remarqué que quelque chose avait changé, sans pour autant que ce soit flagrant. On m’a dit que j’avais bonne mine, mais, du moins pas avant que je le révèle, personne n’avait remarqué que je portais des lentilles. Ce devait donc être naturel, ce qui me va plutôt bien !
*** Concours***
Maintenant, si vous le souhaitez, c’est à vous d’avoir l’opportunité de tester les lentilles de couleur ou tout autre produit, puisque Mathilde me propose de faire gagner 5 codes de réduction ouvrant droit à -20% sur tout le site Mister Spex.
Pour participer, c’est très simple, il vous suffit de me raconter en commentaire quelque chose à propos des lunettes ou des lentilles (une expérience, une envie, etc.).
Vous avez jusqu’au 30 juin 2012 pour participer. Le tirage au sort sera fait dans la foulée et les gagnants annoncés dans un article.
N’oubliez pas de me laisser une adresse mail valide dans le champ « adresse mail » du formulaire de commentaire pour que je puisse vous contacter !
Bonne chance à tous !
*** Le concours est terminé, merci aux participantes ***
Ce qu’il y a de bien avec les paquets de la lovely dozen, c’est qu’ils arrivent toujours au moment où il faut : quand je suis fatiguée, passablement de mauvais poil ou que j’ai besoin de me changer les idées. Ce colis de mai (arrivé en juin, certes, mais il vient des USA) confirme l’équation : ce qui me plait + moment adéquat = sourire béat pendant 1/4 d’heure.
Je vous montre ?
Autant le dire tout de suite, ce petit paquet, comme le précédent est emballé de manière absolument exquise. Le genre de truc qui me fait pousser des petits cris, quelque part entre le miaulement et le « ih » caractéristique de l’adolescente.
Un cri/gémissement très distingué donc.
Le thème de ce mois-ci (enfin du mois dernier en fait) c’est « snail mail », le courrier donc. Ce qui m’enchante, vu la grande passion que je voue aux papeteries, à la correspondance et tout ce qui se rapproche de ces univers…
Ce paquet m’a encore plus plu que le précédent. Peut être que les petites cartes vintage y sont pour quelque chose. Peut être que c’est parce qu’il y a écrit « happy day » sur le stylo vert. Peut être que c’est parce que je trouve l’idée des enveloppes dans lesquelles ont peut mettre un petit mot vraiment mignonnes. Peut être que c’est le côté kawaï des stickers et des petites cartes d’anniversaire qui m’ont attendrie.
Je crois que j’aime faire des listes. Je crois que j’aime encore plus me fixer des objectifs (même si je ne réalise pas tout, cf. la 12 by 2012, ahem…).
Alors quand j’ai vu ce genre de listes (ici, ici ou là), je me suis dit que l’idée était intéressante… Voici donc 28 choses que je voudrais faire avant mes 29 ans.
A suivre donc !
PS : Les nœuds, c’est pour faire joli, mais aussi pour montrer que ça marche aussi avec une photo de magazine (mais c’est plus joli sur fond clair que foncé, les pliures se voient trop sinon). Oui je compte vous parler un peu du cahier d’inspiration. Oui j’ai acheté le cours « Art Journal All Year », de même que j’ai acheté le « Blog Love » que j’adore. Et si vous n’arrivez pas à lire mon écriture, faites moi signe en commentaire, je retranscrirai la liste !
Non, je n’ai rien absorbé d’illicite, j’ai simplement fait une petite « découverte ».
Tout a commencé cet après midi, en discutant avec les collègues à propos des jeux vidéos old school. Vous savez les jeux vidéos de l’époque de Zelda 3 – A link to the past, Mario Kart ou encore Mortal Kombat III sur la Super Nes ? Voilà, ces jeux vidéos là.
Bref, on papote, et puis quelqu’un a commencé à dire qu’avec des vieux cheat codes (= les codes qui donnaient de petits bonus, genre des vies en plus, ou qui débloquaient des personnages) de l’époque, on pouvait changer parfois l’apparence de certains sites, etc. Genre il y en a qui ont perduré dans le temps (ah bon ?) et qui ont été réutilisés, même dans les jeux récents, même dans les sites web et autres. Moi je ne m’en rappelais que d’un seul (le plus connu…) et pour voir, j’ai essayé sur Hellocoton…
Et voilà ce qui est apparu (alors pour info, plus vous cliquez sur la souris plus il y en a qui s’affichent, c’est délicieusement kitsch !).
Et pour la manip à faire, cherchez il y a quelques indices dans l’article…
Edit du 24/05/2012 : Même si quelqu’un a trouvé, je vais vous donner la manipulation à faire. Déjà, il faut être connecté à Hellocoton. Ensuite, le code à taper, c’est le code Konami (le code le plus fameux) (un des indices concernait Mortal Kombat III, lorsqu’on tapait le code dans un sens on débloquait le kool stuff mode – je crois – et quand on le tapait à l’envers c’était le kooler stuff mode) (ou un truc du genre).
Le code Konami, c’est ça :
(pas besoin d’être en majuscule pour le « b » et le « a »)
Amusez-vous bien avec vos licornes !
PS : Après quelques recherches, on peut trouver la liste des sites qui utilisent le code Konami sur wikipédia.