Janvier a été, pour moi, dans la continuité de décembre : un mois empli de joies, avec des favoris simples…
La musique
J’ai découvert Julien Doré.
Je sais bien que sa carrière ne date pas d’hier, mais je ne sais pas, je n’arrivais pas à me laisser happer par son univers. Et puis voilà, ces derniers temps j’ai beaucoup écouté « Sublime & Silence » et « Le lac » et j’aime bien.
Une jolie découverte.
La lecture
Je n’ai pas énormément lu le mois dernier, en fait je n’ai lu qu’un livre (je crois ?)Daring Greatly de Brené Brown (Le pouvoir de la vulnérabilité en français).
Et quel livre mes amis, quel livre ! On en reparle bientôt, mais c’est une vraie perle, beaucoup de passages m’ont parlé et m’aident à comprendre à la fois mon comportement et celui des autres, très intéressant !
La beauté
Un petit plaisir simple avec cette crème pour les mains à l’amande de Weleda que j’aime décidément beaucoup, et puis un autre un peu plus conséquent puisque je me suis offert un massage d’une heure et demie le week-end dernier. C’était absolument divin, j’ai hâte de recommencer !
Le film
C’est un favori depuis longtemps, dont je ne me lasse pas. J’ai regardé en fin de mois Mémoires d’une Geisha, et je l’aime toujours autant ce film. A la fois beau et émouvant, une photographie somptueuse et puis une bande-son très réussie.
L’objet
Pour Noël je me suis offert un mug pour le travail. Cela faisait un moment que je lorgnais dessus sur le site de Lollipop Designs et je suis très contente de mon achat. Dessus il y a la constellation de mon signe astrologique (Taureau) : ce n’est pas tellement que je sois attachée à l’astrologie, mais j’aime beaucoup les constellations et les étoiles alors…
Et puis l’alliance du doré et du blanc me plait.
Et vous, quels sont vos favoris du mois de janvier ?
J’ai eu beau tout faire pour la garder le plus longtemps possible, j’ai finalement terminé la bougie Nectar de miel et thé que je m’étais acheté en décembre à Habitat (et que j’ai finalement réussi à faire fondre complètement).
Du coup, comme je n’aime pas mélanger les parfums, j’ai attendu un petit peu et j’ai commencé à faire brûler celle à la figue et aux noix il y a environ deux semaines.
C’est toujours un peu difficile je trouve de décrire une odeur avec des mots parce que chacun peut avoir un souvenir différent d’une autre personne d’un même parfum, mais définitivement cette bougie me rappelle la confiture de figues au chaudron que mangeait ma tante au petit déjeuner .
En fait c’est un parfum qui m’évoque la Corse au temps des fêtes : c’est très sucré, et en même temps il y a cette odeur de méditerranée en fond, c’est assez difficile à expliquer. Je ne saurais d’ailleurs pas vous expliquer pourquoi la Corse, ni pourquoi spécialement au temps des fêtes dans la mesure où la seule fois que je suis allée sur l’Île de Beauté, c’était en plein été.
Enfin toujours est-il que j’aime beaucoup ce que diffuse cette bougie, même si je ne la laisserais pas brûler toute la journée : je la trouve plutôt bien pour les matins de week-end et les soirées avec un bon livre.
Mais après tout, on a chacun une histoire avec les parfums et peut être que pour vous ce serait l’odeur parfaite pour l’après-midi, allez savoir…
Vous connaissez ? Qu’en pensez-vous ? Quelle est votre bougie favorite du moment ?
Et donc ça fait un peu plus d’un mois que j’ai repris le travail.
Déjà un mois ?!
Juste un mois ?!
J’oscille entre l’impression de débarquer et d’avoir tout à apprendre et celle d’être là à ma place, dans mon élément, dans un lieu familier.
Je suis contente.
J’ai envie de me lever le matin et d’aller au travail, voir quels nouveaux challenges m’attendent, retrouver les équipes (qui m’ont réservé un accueil très chouette à mon arrivée, vraiment), travailler sur tous ces projets plus stimulants les uns que les autres.
J’ai encore quelques ajustements à faire sur mes routines (même le bullet journal est en train d’être repensé !), parce que je ne sais plus trop comment équilibrer tout ça et j’ai un peu de mal à faire la coupure entre le travail et chez moi tellement je suis excitée par toutes ces nouveautés.
Je suis heureuse.
C’était vraiment une bonne idée d’écouter cette petite voix.
Depuis pratiquement un an, j’utilise le système du bullet journal pour m’organiser : j’aime sa flexibilité, le fait de pouvoir se l’approprier comme on le souhaite. Le côté créatif et graphique est aussi un gros point fort à mes yeux.
Depuis Novembre 2016 j’ai entamé un second Leuchtturm 1917, ce qui m’a permis de repenser mon système.
Voici les leçons que je tire de mon premier carnet. A noter, toutes les photos de cet article sont de mon ancien carnet, pour montrer ce qui ne marche plus pour moi, ce que j’ai fait évoluer, mais aussi ce qui a bien fonctionné !
Ne pas chercher à faire trop compliqué tout de suite
Ici, vous pouvez voir le code couleur avec le petit carré sur le côté des pages, et le masking tape en haut : à force d’en mettre autant, mon premier carnet est plus volumineux sur le haut des pages que sur le bas !
Quand j’ai commencé à utiliser ce système, j’ai voulu tout de suite incorporer tout un tas de petites choses pour le rendre vraiment pratique (croyais-je).
J’ai donc instauré un code couleur pour les tranches de pages, des masking tapes pour les catégories, et ma légende était assez fournie.
A l’usage, je me suis rendue compte que certaines choses ne m’étaient pas utiles ou me prenaient trop de temps.
Pour la légende par exemple, je suis revenue à quelque chose de très simple : point pour les rendez-vous, carré à colorier pour ce que je veux accomplir.
Et cela marche très bien comme cela.
Idem pour le masking tape et le code couleur sur les tranches des pages (cf. le matériel que j’utilisais à ce moment là) : j’utilise le masking tape sur les tranches des pages maintenant, notamment pour les pages mensuelles dédiées au Desire Map, ou le Future Log : ça me permet d’un coup d’œil de savoir où commence un mois et où se trouvent les pages dédiées aux rendez-vous des prochains mois.
Les outils de planification future sont utiles
J’ai intégré la vue mensuelle et autres outils de planification future sur le tard, et aujourd’hui ce sont les pages dont je me sers pratiquement tous les jours.
Dans mon premier Bullet Journal, je n’avais pas de future Log ou de Calendex (si vous ne savez pas ce que c’est, je vous invite à lire cet article de Kara sur le sujet). Je n’en avais pas vraiment besoin à ce moment-là, et je n’arrivais pas à envisager comment intégrer utiliser ces outils.
Aujourd’hui, j’ai une page de Calendex pour les 4 premiers mois de l’année et une autre page qui me permet de noter les rendez-vous à plus long terme (tels que les rendez-vous médicaux pour lesquels il y a un long délai entre la prise de RDV et la visite en elle-même).
Dans la même veine, j’ai intégré sur le tard une vue mensuelle, et c’est aujourd’hui l’une des pages que je consulte le plus, surtout depuis la reprise du travail.
C’est un outil qui évolue avec nous, et il doit pouvoir s’adapter (= rien n’est gravé dans le marbre)
Dans mon précédent carnet, je collais des pages quadrillées sur lesquelles je faisais mon tracker : les pages lignées n’étaient pas adaptées à mes envies graphiques !
La principale difficulté que j’avais avec mon premier carnet c’était les pages lignées : comme je suis quelqu’un de visuel, faire des tableaux, grilles ou graphiques me prenait beaucoup plus de temps.
Aujourd’hui j’ai une version « dotted » et je trouve que cela me correspond mieux, c’est plus flexible.
Par ailleurs, maintenant que j’ai un rythme différent, je suis en train de voir comment mieux adapter le système : peut être une vue hebdomadaire plutôt que journalière, moins de tâches dans la journée (j’ai un bullet journal dédié au travail qui ne quitte pas le bureau), moins de fioritures (mais suffisamment quand même pour que j’ai envie de l’utiliser).
C’est un outil qui permet d’accomplir de bien belles choses
Les temps forts, le tracker et les pages mensuelles du Desire Map sont celles qui m’ont le plus servi à accomplir de belles choses, en plus des vues quotidiennes qui décrivent mes priorités pour la journée.
Depuis que j’utilise le bullet journal, je suis plus productive : j’ai une vision claire de ce que je veux faire, je m’organise mieux pour réaliser ce que je souhaite, et, forcément, j’atteins mes objectifs, je réalise mes intentions.
J’ai aussi adopté de meilleures habitudes via l’utilisation du tracker et les liens que je peux faire entre certaines activités et mon humeur : en décembre je me suis donnée comme intention de sortir de chez moi tous les jours par exemple, et cela m’a fait beaucoup de bien. De même, j’ai pu noter une meilleure humeur les jours où je peins, j’écris ou je fais du yoga, j’ai donc plus tendance à faire ces activités.
Enfin, j’ai développé plus de gratitude via la page de temps forts du mois : j’y note les petits et grands moments de ma vie, et cela m’aide beaucoup à avoir une vision plus positive de ma vie, plus réaliste aussi.
Et vous, avez-vous adopté le système du bullet journal ? Que vous a-t-il apporté ? Quelles leçons tirez-vous de l’utilisation de cet outil ?
Comme je le disais plus tôt dans la semaine, Décembre a été un mois en fanfare pour moi : beaucoup d’émotions positives, de joie. Au creux de cela, des favoris tout simples…
La lecture
J’ai beaucoup aimé lire Coquelicot d’Anne Sylvestre. C’est un chouette petit livre qu’on peut picorer au gré de nos envies, de notre attrait pour un mot. Le style est dynamique, enjoué, parfois drôle, très jolie lecture !
La nourriture
Deux favoris d’un point de vue gustatif pour le mois de Décembre. Tout d’abord, le tartare d’algues qui parsème bon nombre de mes tartines d’avocat ou de saumon fumé, voire qui est la star de la tartine à lui tout seul.
Et puis aussi ce muesli croustillant chocolat noir et framboises qui accompagne mes matins depuis bien plus longtemps que le mois de décembre et que j’aime beaucoup : pas trop sucré, le pep’s de la framboise, c’est parfait !
La beauté
Big Apple Red, ce joli rouge lumineux et intemporel. Cela faisait une éternité que je n’avais plus porté de vernis, et c’est celui-ci qui m’a le plus emballée des trois que j’ai acheté au final.
Le gros changement
Bien entendu, dans mes favoris il y a la reprise du travail qui a bien chamboulé les habitudes, dans le bon sens du terme ! J’y reviendrai un peu plus tard dans le mois, parce que c’est encore assez récent, mais je peux d’ores et déjà vous dire que c’était un excellent choix que de suivre ma petite voix !
Pour ce premier article de l’année, j’aimerais tout d’abord vous souhaiter une très belle année 2017.
Je vous souhaite qu’elle soit douce, qu’elle soit ponctuée de petits et grands bonheurs, que vous soyez entouré d’amour, que votre forme vous permette de réaliser ce qui vous tient à cœur.
Je vous souhaite aussi de belles réussites, des petits et grands voyages, fussent-ils intérieurs ou à l’étranger, de jolies rencontres, des leçons bénéfiques.
Tous les ans, mon premier article ici est dédié à une rétrospective sur l’année qui vient de s’écouler (vous pouvez retrouver les précédents épisodes : 2011, 2012, 2013, 2014, 2015) : certaines années il s’agit plus d’une rétrospective personnelle, d’autres plus d’une compilation des articles que j’ai aimé écrire. Cette année on va mixer un peu les deux.
En janvier, c’est la rentrée au yoga et je crois bien que c’est à peu près la seule chose qui m’enthousiasme : j’ai du mal à sortir, que ce soit dehors ou de ma carapace. Je suis assez mal dans ma peau et au travail ce n’est pas folichon.
En février, si j’annonce que j’ai repris mes études à 30 ans, en fait j’ai du mal à me réaliser d’un point de vue personnel : je navigue un peu à vue, et quand je ne suis pas au travail, je mets mon énergie dans mes cours. Histoire de donner un peu plus de structure à tout cela je me lance et je créé mon bullet journal, et je me chouchoute un peu : je finis de lire les 3 Mousquetaires, je prends régulièrement des bains, et je cherche à faire ce qui me fait du bien.
En mars, je suis en vacances et j’en profite pour me changer les idées, notamment en jouant à des jeux vidéos. L’idée de changer de voie professionnelle est de plus en plus présente dans mon esprit : j’ai envie de renouveau, c’est indéniable (spoiler pour les nouveaux : ce n’est pas du tout cela qui va se passer, mais ce sera mille fois mieux). Cela tombe bien, après 2 ans et demi en mission pour un client, je reviens dans ma société, c’est le temps parfait pour faire le bilan en coulisses. Côté blog, c’est un petit mois : je passe bien plus de temps à lire Le comte de Monte-Cristo qu’à écrire ici !
Avril a été un mois très difficile d’un point de vue personnel, et j’ai essayé de me réfugier dans les loisirs : je joue à Stardew Valley, je vais au cinéma voir Les délices de Tokyo et je lis The Great Gatsby. Ce sera peine perdue ou presque, l’inconfort sera trop grand, il faudra rapidement faire un choix pour se remettre sur les rails de l’épanouissement personnel.
Si le début du mois de mai est un peu tranquille, je prends rapidement, après une énième déception, la décision de quitter mon travail. Avant de me lancer et de l’annoncer je pars à Montréal retrouver les amis, rencontrer Camille, faire le plein de belles choses. C’est aussi à cette période que j’ai mon dernier cours de kinésiologie. Côté blog, c’est le désert, un seul petit article pour parler d’un produit qui cumule les couleurs pastel, les paillettes et mon amour pour les bains, Unicorn horn.
En juin, c’est un grand tournant qui s’amorce en coulisses de ce blog : j’ai demandé ma rupture conventionnelle, je l’obtiens et je quitte la société en fin de mois. Je passe aussi les examens suite aux 2 ans de cours de kinésiologie que j’ai suivi, et j’obtiens mon certificat. Sur le blog, je parle des lectures qui m’ont accompagnée pendant mon voyage à Montréal : Chanson française et Trois amis en quête de sagesse.
Juillet, c’est la liberté retrouvée, le renouveau de la vie sociale : je profite de ce nouveau rythme, de ce soulagement, et je vois beaucoup mes amis. J’irai aussi voir mon banquier qui me confirmera que le projet que j’avais n’est pas viable pour le moment, alors le 14 juillet je mettrai mon CV sur les sites de recherche, pensant être tranquille jusqu’au 15 août et ainsi avoir le temps de prendre soin de moi. Que nenni, le lendemain on m’appelle et quelques jours plus tard je commencerai à passer des entretiens pour le seul poste que je convoiterai de toute l’année… Je reprends un petit rythme tranquille sur le blog en publiant une fois par semaine, notamment pour vous parler d’une recette de smoothie que j’adore et de mon shampoing favori.
En Août, je continue sur la lancée amorcée le mois précédent : encore des entretiens, et surtout des sorties avec les copains. Je m’affirme aussi, et si c’est parfois un peu compliqué, ça me fait du bien. Ma voiture est enfin réparée après deux mois au garage, et je suis bien contente de retrouver ma liberté de mouvement. Du côté du blog, on revient à quelque chose de plus régulier et les sujets sont variés ! Depuis le Bullet journal jusqu’à l’aveu que je suis en plein dans les entretiens pour le poste de mes rêves, en passant par quelques photos de Montréal, des lecturesinspirantes, ou encore une huile de massage.
En septembre, je vois mes amis, encore, beaucoup et avec beaucoup de plaisir. Cette période de chômage me plait, et je la mets à profit pour lire et pour partir en voyage avec un ami. Côté blog, le rythme est pris et je parle beaucoup de lecture : du classique, du drôle étonnant et de l’émouvantaussi. Et puis pour changer, j’évoque aussi les podcasts que j’aime bien.
En octobre, je sors un petit peu moins, et je doute un petit peu de moi. Pour autant ce n’est pas un mois triste : je mets de l’ordre dans mes souvenirs de Rome, et je lis deux livres très chouettes, les deux premierslivres de la saga La passe-miroir(dont j’ai déjà parlé 425 fois ici, je le sais, mais j’aime beaucoup ces livres). Côté beauté, une chouette découverte en termes de ballistics à recenser et puis ma crème de jour favorite !
En novembre, je sors à nouveau un peu plus, je m’ouvre aux gens, je reprends confiance. Je recommence même à cuisiner, c’est dire si ça va bien ! Je prends le temps de faire des albums photos, un moodboard, et puis je lis et je prends des bains, parfois souvent je combine même lesdeux.
Décembre, c’est la fin d’année en fanfare entre les sorties (nombreuses) avec les amis et la reprise du travail : j’en ai rêvé, j’y suis(et c’est encore un peu incroyable et chouette si vous voulez tout savoir). De toute l’année, c’est le mois où j’aurais été de meilleure humeur, le plus heureuse, et de très très loin. Côté blog, je vous dis ce que je pense des vernis que je me suis achetée, je vous présente une petite recette qui change, et puis il y a de la lecture créative et moins créative avec des thés du temps des fêtes.
Honnêtement, 2016 a été une année mouvementée, et j’en tire plein de leçons : écouter son intuition, ne pas rester dans l’inconfort pour de fausses bonnes raisons, s’ouvrir aux autres, s’aimer et prendre soin de soi. Et puis croire en la vie, toujours.
Je suis très reconnaissante de tout ce que cette année m’a appris, m’a montré, de ce que j’ai expérimenté, y compris la moitié de l’année difficile.
J’amorce 2017 grandie, pleine de gratitude et d’énergie pour avancer encore.
J’espère qu’il en est de même de votre côté. Et encore une fois, je vous adresse tous mes vœux de bonheur, de réalisation personnelle, d’amour, de bonne santé et de belles expériences.
Puisse 2017 être merveilleuse avec vous autant que vous l’êtes.
A vous qui passez ici, je vous souhaite un joyeux Noël ! J’espère que vous l’aurez passé au chaud, avec des bonnes petites choses à manger, et plein d’amour, de joie et de bonheur.
En fait, j’ai beau aimer les bougies parfumées, je ne sais pas vraiment où en acheter qui soient à la fois de qualité et à un prix raisonnable. Alors pour l’instant, je me fournis à Habitat.
En début d’année j’avais essayé Vent et Embruns, puis vers le milieu d’année j’ai poursuivi avec celle qui s’appelle Argile (dont je n’ai pas parlé ici, mais qui sent bon le propre et le frais).
C’est ainsi que j’ai vidé mes stocks de bougies parfumées : il me reste bien encore quelques petites bougies de type chauffe-plat de Ikéa, mais comme elles sentent les fruits exotiques et que je ne trouve pas que ce soit très approprié pour la saison, je suis allée voir ce que je pouvais trouver.
Je suis donc allée à Habitat, j’ai regardé les rayons (hésitant 425 fois pour savoir si oui ou non j’achetais ces jolies bouboules de Noël alors que je n’ai pas de sapin…), et puis je suis tombée sur une collection que je ne connaissais pas (mais qui peut être existe depuis des années), avec tout un tas de senteurs.
J’ai acheté trois bougies : figue & noix, coton & néroli, et Nectar de miel et thé qui est la première à avoir été allumée.
En vrai, je n’ai pas encore allumé les autres, tellement j’aime celle-ci (alors que c’était celle qui me tentait le moins des trois) (oui je fais partie de ceux qui gardent le meilleur pour la fin).
C’est un parfum plutôt sucré, le miel est très présent, et pourtant je ne le trouve pas écœurant. Ce qui est un peu étonnant à vrai dire, c’est que l’odeur est à la fois sucrée et fraîche (je suppose que c’est le thé qui apporte cela), alors je me retrouve à la laisser allumée longtemps, je trouve qu’elle va bien à tout moment de la journée.
Je dirais que c’est toutefois un parfum plutôt relaxant, plutôt rond et doux. C’est une jolie association que j’aime beaucoup, et l’odeur se diffuse très bien, ce qui renforce le plaisir.
Petit bémol, mais c’est peut être juste moi qui m’y prends mal, je n’arrive pas à la faire fondre uniformément (ce qui était déjà le cas avec les autres bougies Habitat que j’ai eu).
Enfin si vous connaissez un amateur ou une amatrice de bougies et d’odeurs fraîches et sucrées, cela fera un bon petit cadeau (de Noël ou autre !). Et si vous vous reconnaissez dans ce profil, n’hésitez pas à voir si elle vous correspondrait : pour ma part c’est une jolie découverte.
A noter, la bougie existe en plusieurs formats, je crois que j’ai pris celui du milieu, et il me semble que je l’ai payée 16€.
Et vous, quelles sont vos bougies parfumées favorites du moment ?
5 mois que j’ai reçu cet appel téléphonique : au bout du fil, quelqu’un qui ne contactait à la base pour quelque chose qui ne m’intéressait pas, et qui m’a finalement parlé, sans s’en douter, du poste dont je rêvais.
En 5 mois, je suis passée par toutes les émotions possibles et imaginables je crois, depuis la joie jusqu’à la déception, en passant par l’angoisse et la gratitude.
Il y a eu autant de rebondissements dans ce processus que dans ma tête et mon cœur.
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Certains m’ont fait comprendre que c’était louche que ce soit si long, si compliqué, que finalement c’était peut être pas une bonne chose pour moi et qu’il vaudrait mieux que je cherche ailleurs.
D’autres m’ont dit de persévérer, que si c’était ça que je voulais, il fallait que j’aille au bout pour ne pas avoir de regrets.
Pendant un temps j’ai effectivement envisagé de chercher ailleurs, mais je n’en avais pas envie : je n’ai postulé à aucune offre, rien ne m’intéressait.
C’est peut être prétentieux ou capricieux, c’est aussi définitivement un luxe que je me suis accordé, mais je voulais ça.
Je ne voulais pas mieux payé, je ne voulais pas une plus grande ou plus petite entreprise, je ne voulais pas plus ou moins varié, je ne voulais pas trouver à tout prix, je ne voulais pas accepter quelque chose pour accepter quelque chose.
Je voulais ce poste-là.
Je voulais écouter cette petite voix qui m’avait dit que c’était pour moi lors de cet appel il y a presque 5 mois. Je voulais écouter cette intuition que j’ai trop souvent mise de côté.
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Vous savez, c’est un peu grisant d’écouter sa petite voix, parce qu’elle a quand même des idées un peu folles, qu’on ne croirait pas réalisables.
Et puis parfois, ses idées sont tellement déconcertantes qu’on n’est pas bien sur(e) qu’elle nous veuille du bien.
Alors que j’écris ces mots et que je prends le temps de réfléchir sur ce long processus, je vois plein de leçons disséminées çà et là, plein de jolies choses sur ce chemin : des amitiés qui ont grandi, l’opportunité d’avoir pu travailler sur des projets qui me tenaient à cœur, un cadeau encore plus beau que ce qui était prévu au départ…
Je ressens beaucoup de gratitude pour tout cela.
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Je vous avais dit que je vous tiendrai au courant.
La semaine dernière, j’ai reçu un courrier. J’ai posé des questions, vécu un tourbillon émotionnel en six heures.
24 heures après je l’avais signé, et renvoyé les papiers qu’on me demandait.
Je tremble autant d’excitation que de peur.
Une nouvelle expérience qui commence. Une nouvelle étape dans la croissance personnelle.
Novembre avait bien commencé, et je dois avouer que c’est un bon mois ici, malgré quelques mauvaises nouvelles : je crois avoir pris le temps de me focaliser sur ce qui va bien, de chercher à améliorer ce qui était moins bon, et cela s’en ressent quant à la manière dont j’ai vécu ce mois !
Quelques nouveautés, un peu de renouveau, voici mes favoris pour le mois de Novembre qui vient de s’écouler.
La lecture
J’ai seulement lu deux livres ce mois-ci, mais les deux étaient excellents !
Le premier, c’est bien entendu Vingt ans après d’Alexandre Dumas. J’ai eu beaucoup de plaisir à retrouver les mousquetaires, les intrigues et le ton de Dumas. C’est un gros coup de cœur pour moi, je vous le conseille chaudement si vous aimez les romans de cape et d’épée.
L’autre livre que j’ai lu est d’un style complètement différent, puisqu’il s’agit de Big Magic d’Elizabeth Gilbert. J’ai mis longtemps à me décider à l’acheter et à le lire, je craignais un peu de ce que j’allais y trouver. En fait j’ai beaucoup aimé ce livre que j’ai lu en quelques jours, je vous prépare une revue pour bientôt à ce sujet !
Les carnets
Je vous ai montré dans un de mes articles une partie de ma collection de carnets, ceux que j’utilise pour y consigner mes réflexions sur ce que je vis, je que j’expérimente. Dernièrement en allant à la Fnac je suis tombée sur des Moleskine à l’effigie de certains super-héros, et j’ai pris celui à l’effigie de Batman.
Je ne vais pas vous mentir, je trouve ces carnets plutôt chers pour la qualité du papier (j’ai assez régulièrement des inconvénients quant à sa finesse en y écrivant exclusivement au stylo plume Parker que j’avais acheté à Montréal) (= parfois ça transperce et pour un carnet à 22€ et des brouettes ça m’ennuie) mais j’aime voir Batman (peut être ai-je été influencée par le slogan d’Anna Akana) (« Stay Awesome Gotham ») qui veille sur ma table de nuit. Comme quoi, même à 32 ans un peu de super-héros dans sa vie ne fait pas de mal.
J’ai aussi acheté un nouveau Leuchtturm 1917 puisque j’ai terminé le doré que j’utilisais pour mon bullet journal. J’ai eu un peu du mal à en trouver (pour les toulousains de l’assistance, il y en a chez Trait), je l’ai pris en noir et la version du papier est la « dotted » (= seuls les coins des carreaux sont signifiés par des points) et je trouve que c’est mille fois plus pratique que la version lignée. Bref, je l’aime beaucoup, je suis très contente de mon achat !
Les jolies choses de l’internet
Côté francophone, j’ai découvert, mille ans après tout le monde, la chaîne Solange te parle. J’aime beaucoup son phrasé très lyrique et accentué (un peu comme Fabrice Luchini si vous voyez ce que je veux dire ?), et la douceur qui ressort de ses vidéos. J’en ai regardé je pense une petite dizaine, j’aime bien ses vidéos sur la culture, mais je crois que tout est bien. Et son chien s’appelle Truite, ce que je trouve extrêmement mignon.
Côté anglophone, je me suis souvent laissée prendre dans la série de vidéos (d’ailleurs il y en a une en « bruit de fond » au moment où j’écris cet article)Let’s Play de GamerZakh sur Civilization VI. Je n’ai pas un PC suffisamment puissant pour y jouer, d’ailleurs je n’ai jamais joué à un Civilization de ma vie (j’étais plus Age of Empires, les jeux par tour n’étaient pas mon fort) (sauf Fallout 1 et 2, mais on s’égare là), mais j’aime écouter Zakh et essayer de comprendre ses choix stratégiques (et sa voix est ultra reposante, je vous assure, c’est un plaisir de l’écouter).
L’inavouable (ou presque)
En fait, je ne sais pas trop bien comment amener ça, alors je vais le faire simplement : j’ai recommencé à faire des mots fléchés.
Et j’aime beaucoup ça.
Je pense que cet attrait me vient de mes parents, qui en faisaient pas mal (surtout l’été, sur la plage, en séchant entre deux bains de mer), et j’avais récemment renoué via un de mes collègues de travail qui faisait ceux des journaux gratuits entre midi et deux. D’ailleurs on avait mis en place une sorte de système par tour où chacun devait trouver un mot par tour de table c’était assez rigolo.
Maintenant je fais mes grilles le matin et/ou le soir, et je suis contente d’avoir renoué avec ça, c’est un passe-temps plutôt reposant.
Voilà pour mes favoris du mois, qui peut être vous inspireront ou vous feront découvrir quelques petites choses.