Pendant mes vacances, outre Pâques, nous en avons profité pour fêter l’anniversaire de mon Papa (en avance, puisque la bonne date c’est aujourd’hui) (bon anniversaire Papa !). Qui dit anniversaire, dit forcément gâteau. Et puisque la période de Pâques est une période de consommation au chocolat, nous avons mixé les deux événements avec un bon cake au chocolat.
La recette originale vient du site « la table à desserts » , mais je l’ai modifiée pour qu’elle corresponde plus à ce que j’aime en termes de texture. Au final, le cake est moelleux, chocolaté mais pas trop sucré. Un bon dessert d’anniversaire en somme !
Ingrédients (aucune idée du nombre de personnes, mais vous en avez pour un moment si vous êtes 4…) :
- 20cl de lait concentré non sucré (inutile de dire que j’avais pas cela en stock, j’ai mis 20cl de lait de vache et ça marche très bien) (et la recette fonctionne aussi avec du lait végétal, c’est testé et approuvé par moi)
- 200g de chocolat fondu (moi je le mets à fondre doucement avec le beurre dans une casserole, mais chacun fait comme il veut) (et j’utilise EXCLUSIVEMENT du Nestlé dessert, je REFUSE de cuisiner un autre chocolat) (j’ai des principes, discutez pas) (les principes pourront être rediscutés si jamais je trouve mieux, mais ce n’est pas encore le cas)
- 150g de farine (type 65 si vous voulez tout savoir, j’ai fait la recette avec de la farine bio et de la non bio, les deux fonctionnent)
- 100g de sucre en poudre (j’ai fait la recette avec du sucre roux le Blonvilliers chez mon papa et une autre fois avec de la cassonade alter éco mais chez moi) (on ne se refait pas hein, bio et commerce équitable quand tu nous tiens)
- 100g de beurre (demi-sel bien entendu, mesuré au pifomètre parce que la flemme d’aller chercher la balance de cuisine)
- 3 œufs
- 1 sachet de levure chimique (alors pour la photo ci-dessous, j’avais oublié de le mettre, je me disais bien qu’il manquait quelque chose et qu’il devrait être plus volumineux ce cake) (mais on l’a mangé quand même et c’était bien bon) (comme quoi…)
(Après la photo d’un plat sur le four, voici la photo d’un plat sur le lave vaisselle. Ça non plus, ça ne s’invente pas…)
Réalisation :
- Préchauffez votre four, thermostat 6 (180°C) (ou alors vous faites comme moi avec le four que j’ai à Toulouse: au dernier moment, mais c’est valable que pour les fours qui préchauffent vite)
- Dans un saladier, battre les œufs avec le sucre, jusqu’à ce que le mélange blanchisse (un peu de nerfs que diable !) (vous pouvez utiliser un batteur électrique, mais moi j’aime bien faire ça à la force du poignet)
- Pendant ce temps, faire fondre le beurre et le chocolat (comme dit précédemment, moi je mets le tout en petits morceaux dans la casserole, la plaque à 1 – oui j’ai des plaques électriques old school – et je touille de temps en temps. Et si ça accroche un peu c’est pas grave ça donnera un petit gout caramélisé très bon)
- Au mélange œufs + sucre, ajouter la farine, en plusieurs fois, en remuant bien (un peu de nerfs que diable ! bis repetitae)
- Au mélange en 4, ajouter le lait, bien mélanger.
- Au mélange en 5 ajouter la levure (étape que j’avais complètement zappé dimanche dernier, mais bon c’est mieux avec)
- Enfin, mélangez la pâte avec le mélange chocolat + beurre (si comme moi vous avez pas eu le temps de laisser complètement refroidir le chocolat et le beurre c’est pas grave, versez tout rapidement en une fois dans votre saladier de pâte et mélangez vite – un peu de nerfs que diable ! ter repetitae – vos œufs n’auront pas le temps de « cuire ») (et vos bras seront ravis)
- Versez dans un moule à cake (au choix : beurré, chemisé de papier sulfurisé ou en silicone) et enfournez pour 40 à 45 min (en fonction de votre moule le temps de cuisson peut varier) (la première fois que j’ai fait la recette avec un moule Téfal « en dur » j’ai laissé 40 min et c’est bien, légèrement moelleux avec la petite « croûte » dessus comme j’aime; par contre pour la version de la photo je pense que 5 min de plus ça aurait été peut être un poil mieux) (bref, plantez la pointe d’un couteau pour voir si c’est cuit ou pas).
Et maintenant, il n’y a plus qu’à déguster, bon appétit !
Nota : Il fut un temps où je n’avais plus de blog et où j’ai envoyé cette recette à ma belle-mère et à Choupie par mail (parce qu’elles me demandaient tout le temps des recettes de gâteaux, alors là j’avais anticipé). Il faut croire que j’étais particulièrement en forme ce jour là (ou que l’écriture sur le blog me manquait) (ou les deux) puisque j’avais ponctué mon mail de ceci :
Avec ça, vous ne pourrez plus dire que je vous ai pas aidé à (re)conquérir un homme / un mari / un collègue / un ami / un papa / une copine (en dépression ou pas) / votre estime de vous-même / un bourrelet qui s’était enfui avec l’été (le bougre !) / votre maman / votre appétit (rayez la/les mention/s inutile/s ou rajoutez en si j’ai oublié quelque chose).
Si ça c’est pas de l’argument de vente pour une recette, je ne sais pas ce que c’est. J’ai bien fait de faire une école de commerce moi…