Si j’achète régulièrement les mêmes ballistics, mes préférées, j’aime bien changer un peu et essayer les nouveautés, les produits que je ne connais pas.
Vous ne le savez peut-être pas, mais Lush propose une collection « permanente » de produits (par exemple, pour les ballistics, il y a toute l’année des « Sex bomb » disponibles à la vente) et une sélection plus thématique, qui varie en fonction des fêtes (Saint Valentin, fête des mères, halloween, fêtes de fin d’année) et de la saison.
Il y a donc régulièrement des nouveautés dans ce magasin, ce qui me permet d’avoir de quoi changer ma routine de temps en temps.
Je ne sais pas trop si « The Experimenter » fait partie de la collection permanente ou saisonnière, mais je ne me rappelle pas avoir vu cette grosse ballistics colorée et anguleuse lors de mes précédentes visites dans le magasin à côté du travail.
J’ai hésité un petit moment à la prendre, n’étant pas certaine d’aimer l’odeur : cette bombe de bain sent l’encens je trouve (du fait du vétiver sans doute ?), et le parfum me semblait alors assez prononcé, me faisant craindre des maux de tête…
À l’utilisation, je dois bien avouer que le début de la diffusion est plutôt charmant avec toutes ces couleurs qui zèbrent l’eau du bain et qui sèment des paillettes sur leur passage.
En revanche, une fois la bombe dissoute, les couleurs se mélangent et on obtient une teinte proche du vert de gris qui n’est pas forcément des plus réussies.
Comme je l’avais pressenti l’odeur d’encens est plutôt forte (sans toutefois m’avoir donné des maux de tête) et tenace, que ce soit sur la peau ou dans la maison.
Les paillettes sont aussi assez coriaces, ne vous tournez donc pas vers cette ballistic si vous n’êtes pas amateurs de la chose.
En résumé, je trouve que cette bombe de bain est un pari audacieux, avec de fortes tendances, mais cela n’est pas ce que je cherche pour ce type de produit. Si de votre côté vous aimez les odeurs et les ambiances boisées et avec du caractère, cette ballistic pourrait vous plaire.
Depuis que je suis à Toulouse, on ne peut pas dire que j’ai vraiment pris le temps de visiter les environs et de changer d’air régulièrement.
Il y a peu, j’ai décidé d’apporter un petit peu de changement à cela et de m’ouvrir aux paysages et villes aux alentours de la ville rose : cela devrait m’être bénéfique de sortir un petit peu de ma routine, que ce soit pour un week-end ou pour un road-trip non loin de la région !
Les deux villes sur lesquelles j’ai, pour l’instant, jeté mon dévolu sont Carcassonne et Collioure : la première parce que les fortifications me semblent intéressantes, la seconde parce que je connais assez peu le pourtour méditerranéen, les deux parce qu’elles me semblent très jolies.
Évidemment, je ne connais aucune des deux et je commence à peine à parcourir le web en quête d’informations, de pistes d’activités et de bonnes adresses.
Et comme j’ai découvert plein de jolies choses en lisant mes blogs favoris et leurs commentaires, je me disais que ce serait aussi bien de vous demander si vous auriez des bons plans (à voir, à faire, à manger…) à me recommander.
Ainsi, si vous avez des bonnes adresses en termes de logement, restauration ou shopping, des idées d’activités et de lieux (musées, parcs…) à visiter ou tout simplement des sites à me conseiller avec des informations sur ces destinations, n’hésitez pas à m’en faire part !
J’arrive sans doute un peu après la bataille pour ce livre, dans la mesure où, il y a quelques mois, Zéro déchet a beaucoup fait parler de lui, de même que l’ouvrage de Marie Kondo sur le rangement (que j’ai aussi lu, mais dont je n’ai pas pour l’instant parlé ici) (sans doute un oubli !).
Je me suis procuré cet ouvrage pour faire avancer ma réflexion et démarche personnelles vers plus de simplification, de réduction des déchets, de respect de l’environnement et de moi-même.
En bref, d’une volonté d’aller plus à l’essentiel.
Depuis que je fais mes courses en magasin bio je fais attention à acheter le plus possible en vrac (ex : céréales, lentilles, pâtes…) et à réduire les emballages (je réutilise les sacs en papier kraft utilisés pour la pesée des fruits et légumes par exemple), cependant je me disais que je devais avoir encore de la marge de progression et le livre de Béa Johnson me semblait être une bonne source d’idées pour avancer sur ce chemin.
Et effectivement, Béa propose beaucoup de pistes pour réduire ses déchets, désencombrer et simplifier la gestion de la maison, revenir à des choses plus importantes qu’une grosse voiture ou 5 services en porcelaine.
J’ai particulièrement aimé les parties où elle donne des pistes pour donner ou louer ce dont on n’a plus besoin, pour recycler. J’aurais très envie d’avoir un composteur, mais je ne pense pas avoir encore assez de rigueur pour l’alimenter correctement, je garde donc les informations sur le sujet précieusement.
De même, j’apprécie beaucoup la philosophie selon laquelle il est plus important de vivre des expériences plutôt que d’acheter des choses : si j’ai encore du chemin à parcourir pour cet aspect, cela me parle de s’enrichir personnellement en expérimentant, en ayant du plaisir et en ressentant de la joie plutôt qu’en acquérant et amassant des biens qui nous causent au final plus de soucis que le prestige ou symbole qui y est associé.
Cependant, je trouve que le livre, malgré les mentions contraires dans l’introduction et la conclusion, peut être perçu comme moralisateur et culpabilisant, voire extrême sur certains sujets : je comprends l’engagement de l’auteur, mais personnellement, je ne me vois pas demander au boucher de mettre les saucisses que j’achète dans un bocal par exemple.
Et si je comprends l’impact que peut avoir sur la planète le fait que le papier qui emballe le beurre ne soit pas composable ou recyclable, je n’ai pas envie de renoncer complètement à certaines choses : j’ai beau avoir une tendance assez inflexible, je crois que la souplesse et la bienveillance me conviennent mieux.
Ainsi, je pense que, comme pour beaucoup d’ouvrages de ce genre, il est important de se demander où nous en sommes, quel est l’objectif que nous souhaitons atteindre et, parmi les pistes proposées, quelles sont celles qui nous semblent applicables. Y aller petit à petit, en prenant le temps d’apprécier chaque étape et ses enseignements, devrait aider à mettre en place les changements.
J’ai souvent entendu de la part de couples que « la Saint Valentin c’est commercial, on n’a pas besoin d’une fête pour se prouver qu’on s’aime, on s’aime tous les jours ».
Vous ne m’en voudrez donc pas du manque de synchronisation entre cet article et la fête des amoureux, car, disons-le tout de suite, la ballistic Lover Lamp Bath Bomb est une bombe de bain qui évoque l’amour !
Lover Lamp Bath Bomb est une grosse boule blanche avec de gros cœurs de beurre corporel incrustés.
Lorsqu’elle se diffuse, l’eau du bain devient d’un blanc un peu laiteux, presque cotonneux j’ai envie de dire, qui personnellement m’évoque les nuages.
Outre les gros cœurs apparents avant diffusion de la bombe, de plus petits cœurs se propagent au fur et à mesure, ce que je trouve très mignon (#gnangnan).
Côté parfum, ça sent l’orange sans être vivifiant, au contraire, c’est une odeur très relaxante.
Avec les cœurs de beurre corporel, le bain est hydratant, c’est une parenthèse très agréable.
Alors si vous êtes amoureux, si c’est la Saint Valentin, si c’est l’anniversaire de votre partenaire et que vous voulez lui faire plaisir, ou si tout simplement vous avez envie de vous chouchouter et de vous donner de l’amour, Lover Lamp Bath Bomb est faite pour vous !
Quant à moi, elle rejoint ma liste de ballistics favorites, rien que ça !
Si vous vous rappelez bien, le mois dernier, j’avais évoqué le fait que je lisais pour la première fois Les 3 Mousquetaires d’Alexandre Dumas et que j’étais absorbée dans ma lecture.
Les 3 Mousquetaires, en très très résumé, c’est l’histoire d’un gascon, D’Artagnan, qui monte à la capitale pour devenir mousquetaire. Il y fait la connaissance de Porthos, Aramis et Athos, tous trois mousquetaires, avec qui il se lie et tous les 4 vont vivre tout un tas d’aventures relatées dans les différents chapitres de l’ouvrage.
On y retrouve d’autres personnages bien connus, tels que Milady, la reine de France Anne d’Autriche ou le cardinal de Richelieu, qui viennent pimenter le tout.
C’est un ouvrage assez conséquent (3 tomes ! Heureusement je l’ai lu sur le kindle…), dont la dynamique me rappelle un petit peu celle des séries télévisées : à l’époque, chaque chapitre était publié dans le journal Le Siècle et il fallait tenir en haleine les lecteurs, tout comme chaque semaine vous avez envie de retrouver l’épisode de votre série favorite !
Et je dois dire que le système a plutôt bien fonctionné pour moi, d’une part parce que le format est addictif, d’autre part parce que l’histoire est tout simplement passionnante !
C’est en effet un ouvrage de cape et d’épée très complet : de l’aventure, du combat, de la romance, de l’espionnage, des trahisons, il y en a pour tous les goûts !
De plus, les personnages, bien qu’imparfaits, sont très attachants et hauts en couleur, ce qui fait qu’on ne voit pas l’heure tourner pendant qu’on parcourt les pages des différents tomes.
En résumé, Les 3 Mousquetaires feront sans aucun doute partie de mes coups de coeur de l’année, et peut être même seront-ils mon livre préféré, qui sait ?
D’ailleurs, j’ai d’autres romans qui m’attendent, mais j’ai d’ores et déjà prévu de lire les autres romans de la trilogie (Vingt ans après et Le Vicomte de Bragelonne).
Suite à cet épisode, j’ai eu une nouvelle fois envie de prendre un bon bain et c’est ce que j’ai fait ! J’ai bien entendu pioché dans mon stock de ballistics, et j’ai sélectionné Golden Wonder.
Golden Wonder, c’est une grosse bombe carrée avec un nœud blanc et une base dorée.
Elle sent le citron vert, ce qui est assez déroutant pour un bain détente, mais c’est un parfum agréable, pétillant, frais, j’ai beaucoup aimé.
Ce n’est pas un parfum entêtant, au contraire, et il n’est pas trop tenace sur la peau, juste ce qu’il faut.
Côté couleur, l’eau prend une couleur entre le turquoise et le vert émeraude, et se pare de petites paillettes (nacres ?) dorées.
Il y a aussi de petites étoiles ( :love: ) de beurre végétal, c’est vraiment une chouette expérience.
L’avantage des petites étoiles, forcément, c’est que la peau est hydratée pendant le bain, c’est donc très confortable.
Après, honnêtement, je pense que c’est plus une ballistic du matin que du soir, ou alors du soir avant de sortir. Cela demeure malgré tout une bombe très agréable à utiliser !
Après de longues tergiversations, en septembre 2014, peu après mes 30 ans donc, j’ai décidé de reprendre mes études et j’ai commencé une formation.
Cela fait donc un peu plus d’un an et demi que je pends des cours tout en travaillant, et bientôt je finirai mes weekends de formation (le dernier sera en mai), passerai mes examens (en juin) et ainsi obtiendrai mon diplôme.
C’est un sujet que j’ai peu abordé ici, cependant il me semblait que c’était le bon moment pour faire part de quelques réflexions sur le sujet, sans toutefois aller jusqu’au bilan, que je ferai sans doute une fois que j’aurais un peu plus de recul.
J’ai choisi de reprendre mes études après une longue réflexion et avoir analysé mes doutes et peurs : j’évolue dans le même secteur professionnel depuis presque 10 ans, secteur qui aujourd’hui ne me correspond plus.
Ne me sentant plus sur mon chemin, ou tout du moins sur un chemin dans lequel je m’épanouis, je me suis demandée ce que je pouvais faire d’autre, quelle voie pourrait me correspondre et quelles possibilités s’offraient à moi pour me réorienter.
Ma demande de bilan de compétences n’ayant pas aboutie, j’ai cherché en moi des réponses à mes questions, tout en me documentant et en faisant confiance à mon instinct : après tout, j’ai déjà occupé plusieurs emplois différents, je pourrai toujours bifurquer encore une fois si besoin.
Malgré tout, il ne faut pas se leurrer, ce choix a été comme un plongeon dans l’inconnu !
C’est pour cette raison que dans un premier temps je n’en ai pas parlé ouvertement : j’ai préféré voir comment je m’en sortais, comment je ressentais l’expérience avant de faire connaître mon choix. Pas question de me rajouter le stress des questions / réponses alors que j’étais en train de chercher un nouvel équilibre !
Car c’est bien un équilibre entre travail, formation et vie personnelle que j’ai dû bâtir à nouveau : pour simplifier, si un mois se compose de 4 semaines, je travaille 3 semaines complètes, j’ai 3 weekends de libres, 3 jours d’affilée (vendredi, samedi et dimanche) de formation et une semaine de 4 jours de travail.
Durant mon temps libre, je m’accorde des moments de détente bien entendu, mais aussi des plages pendant lesquelles je révise mes cours et pratique autant que possible les gestes que j’apprends.
On me dit souvent, lorsque j’évoque le sujet, que ça doit être fatiguant de jongler comme cela et demander beaucoup de travail.
Et c’est vrai, c’est un challenge parfois de trouver une place pour chaque activité et de ne pas s’oublier dans le processus.
Pourtant, je suis extrêmement contente d’avoir fait le pari de reprendre mes études : j’ai rencontré des personnes très intéressantes (professeurs et camarades confondus), j’ai ouvert mon esprit à d’autres façons de penser, de voir le monde, et surtout, j’apprends quelque chose qui me passionne.
Reprendre mes études m’a redonné du dynamisme et de la créativité dans ma façon d’appréhender ma vie et mon futur, ce qui était exactement ce dont j’avais besoin à ce moment là.
Aujourd’hui, je ne sais pas encore très bien comment je m’organiserai une fois mon diplôme obtenu, c’est un sujet que je dois encore maturer dans la mesure où je ne l’ai pas exploré autant que je le voudrais.
Rien de figé pour l’instant, je suis encore en pleine découverte de l’activité que j’apprends, de moi-même, et du nouvel équilibre que je vais vouloir bâtir.
Finalement, reprendre ses études c’est un peu se retrouver dans un monde où l’inconnu côtoie l’enrichissement personnel.
En écrivant ces quelques lignes je me rends bien compte qu’il était sans doute un peu ambitieux de vouloir parler d’un sujet aussi vaste en un seul article : j’espère avoir pu poser les grandes lignes de ce projet que je nourris depuis quelques temps.
Si vous avez des questions ou si vous voulez faire part de votre expérience, n’hésitez pas à le faire en commentaires, je serais ravie d’échanger avec vous sur le sujet.
Et puis sans doute que dans quelques temps je viendrai préciser mon propos sur cette expérience étonnante, il y a tellement à dire !
C’est une ballistics plutôt grosse, de couleur verte que j’ai achetée pendant les soldes.
Alors bon, au début, je croyais que ce n’était pas la bonne ballistics qui était indiquée sur l’étiquette : j’avais bien du mal à m’imaginer comment une boule verte pouvait bien rendre l’eau bordeaux, impression que les premiers instants d’effervescence de la boule de bain ont confirmé.
Et puis vous savez bien qu’avec Lush il y a souvent des surprises, et cette ballistics n’échappe pas à la règle : au bout d’un moment c’est du rose qui se diffuse et l’eau commence doucettement à changer de couleur, à tirer vers le rouge pour enfin atteindre le bordeaux.
On a presque l’impression de se baigner dans du jus de canneberge, c’est assez étonnant.
Passé ce petit moment incongru, Lord of misrule redevient une ballistics « simple » : l’eau se colore, il n’y a ni paillettes, ni nacres, ni petites formes de beurre végétal quelconque ou autre agrément.
Côté senteur, je ne saurais décrire précisément ce que sent l’eau une fois que la bombe à fini de se diffuser, en revanche la ballistics sent le patchouli lorsqu’on la sort du sachet.
En fait, peut être que ça vous parlera, c’est une ballistics « qui sent Lush », tout du moins c’est un peu l’odeur que j’associe à cette enseigne.
Globalement, c’est une ballistic agréable, qui ne laisse pas d’empreinte olfactive sur la peau, qui est délassante, mais ce n’est sans doute pas une boule de bain qui vous marquera autant que shoot for the stars par exemple.
Le moral n’était pas terrible, il faisait gris et il y avait de la bruine. J’ai commencé à avoir mal à la tête, les sinus bouchés, les oreilles qui blessent, la nuque raide.
Et puis les contrariétés du travail sont venues s’ajouter à ce tableau, de même que les questions existentielles qui me rendent souvent visite ces derniers temps.
Le lundi, c’est Hatha yoga au studio.
J’aime bien le Hatha yoga. Quand j’en sors je suis sur un petit nuage, entourée de coton.
Ce lundi-là, pourtant, cela ne me disait rien d’y aller.
Et alors que je chattais avec Loonie, entre The Witness et le fait que vraiment il est urgent que je change de job, je lui ai dit que le yoga ce soir, ce n’était pas forcément la meilleure idée du siècle.
« Que te dit ton corps ? »
Elle n’a pas essayé de me convaincre qu’il fallait que j’y aille, que je paye pour deux cours par semaine, nan mais vas-y tu vas voir ça va te faire du bien.
Non.
A la place, elle m’a demandé si penser à aller au yoga me crispait ou me détendait.
C’est exactement ce dont j’avais besoin : laisser ma tête et ses théories sur le bien et le pas bien, et demander à mon corps ce que lui en pensait, ce que lui voulait.
Non, pas yoga.
Par contre, bain, soupe, lecture sous la couette, ça oui.
Très bien. Faisons ça alors.
J’ai tendance (peut-être que vous aussi ?) à vouloir tout mentaliser et analyser au regard de préceptes et autres règles ce que je dois faire pour être parfaite, irréprochable, productive, j’en passe, et des meilleures.
Alors qu’en fait, en y réfléchissant (c’est là tout le paradoxe…), ce qui compte pour moi (pour vous aussi ?) c’est de choisir de faire ce qui fait du bien, profondément, à l’intérieur de soi.
Et le corps, lui, il sait ça. Tout comme il sait aussi que là, vraiment, s’acharner dans une direction qui n’est pas la nôtre pour une conception mentale, ce n’est pas bon pour nous. Et il nous le fera savoir, à sa manière.
Bref.
Je suis donc rentrée chez moi, j’ai pris un bon bain chaud, mangé une bonne petite soupe et j’ai lu dans mon lit.
Et c’était bien.
Du coup, j’ai changé une de mes intentions du mois de Février. Elle est passée de « Yoga 2 fois par semaine » à « Yoga quand ça me fait du bien », ce qui est sans doute plus adaptée à mes mantras de l’année, mes core desired feelings (rappelez-vous, The Desire Map, …).
De nouveau, depuis quelques temps, je me maquille le matin.
J’ai plein de plus ou moins bonnes raisons pour me maquiller, depuis « mettre un masque sur mes doutes » à « je vais peut-être croiser P.H. », en passant par « j’ai envie de mettre du rouge à lèvres rouge ».
On devrait toujours écouter les envies de rouge à lèvres rouge.
Il y a eu une période où je prenais beaucoup de temps pour me maquiller, à poser les fards, à me créer un personnage, à affirmer une personnalité que je ne savais pas vraiment définir, à me vouloir différente alors que j’étais déjà unique.
Maintenant, le maquillage quotidien, c’est 5-10 minutes, pas plus. Je peux pousser à 15 minutes si je sors ou si l’envie me prend de faire quelque chose un peu plus sophistiqué que d’habitude, mais je m’en tiens aux choses simples : unifier et raviver mon teint, définir mes yeux et ourler mes lèvres si j’en ai envie.
En gros, moi en mieux.
Alors voilà la liste des produits que j’utilise pratiquement tous les jours : je change parfois de fard à paupières et il manque le rouge à lèvres (par défaut #Bonheur, à voir dans cet article), mais la base est dans ces 7 produits.
Pour le teint :
NARS – Pure radiant tinted mosturizer # Groenland – light 3 : il unifie légèrement le teint sans effet plâtreux. J’ai une autre teinte, légèrement plus foncée, pour l’été.
BOBBI BROWN – Poudre libre impalpable # 1 Pale yellow : pour un fini velouté
NARS – Blush #ORGASM : pour avoir bonne mine. Il fait un peu peur au début, mais il va avec tout !
Pour les yeux :
URBAN DECAY – Eye shadow primer potion #Original : pour éviter au fard de filer dans les plis des paupières.
CHANEL – Ombre essentielle #45 Safari : un taupe irisé qui va absolument tout. Je l’ai depuis des années et je ne m’en lasse pas !
GEMEY MAYBELLINE – Line refine liner express #Noir : j’en ai essayé plein, mais mon liner favori reste celui-ci, vraiment facile à appliquer.
MAKE UP FOR EVER – Smoky Lash # Ultra black : pareil que pour le liner, j’ai essayé beaucoup de mascaras mais celui-ci est définitivement mon préféré.
Comme vous pouvez le constater, il n’y a rien d’extraordinaire.
Je ne redéfinis pas mes sourcils, je ne mets pas non plus d’enlumineur ou de bronzer, bref je ne fais pas de contouring : mon visage est assez modelé et structuré, je ne trouve pas que j’en ai besoin.
Enfin, qui sait, il y a quelques années j’avais le fond de teint en horreur et aujourd’hui je porte de la crème teintée, peut-être qu’en 2020 je mettrai de la terre de soleil ?
Et vous, quels sont vos produits favoris pour votre maquillage quotidien ?