Le caveau de famille, c’est la suite du mec de la tombe d’à côté que j’ai acheté après avoir lu certains commentaires qui me le conseillaient.
Dans ce roman, on retrouve donc Benny et Désirée, leurs univers respectifs discordants, leur verbe parfois acerbe mais toujours pétillant.
** A partir d’ici, je révèle la fin du premier opus, ne lisez pas si vous ne l’avez pas encore lu ! **
Dans le caveau de famille, Désirée et Benny se « séparent » mais se font une promesse. Désirée veut un enfant de Benny et lui propose 3 essais. Si à l’issue de ces trois essais elle n’est pas enceinte, alors l’histoire se termine là. Bien entendu, ils ont un enfant, et là c’est un changement à tous les plans, surtout pour Désirée qui vient s’installer à la ferme de Benny.
L’auteure évoque la maternité, l’adaptation à un quotidien différent de ce que l’on a connu, le quotidien d’un couple avec ses hauts, ses bas, ses disputes, ses joies.
Le roman est toujours organisé de la même manière: un chapitre est raconté par Désirée, l’autre chapitre par Benny, les deux racontant à peu près la même situation, chacun avec son point de vue et ses caractéristiques.
Je ne vous en dévoile pas plus sur l’histoire, sachez qu’il y a des rebondissements, que c’est un roman dynamique et rigolo. Comme le précédent opus, c’est un bon moment que l’on passe en se plongeant dans les pages de l’ouvrage, même si je l’ai trouvé un peu moins coloré que l’autre.
Une bonne lecture sans prise de tête et bonne pour les zygomatiques !
La première fois que j’ai mangé de la tarte aux tomates, c’était lorsque j’étais en école de commerce. J’étais allée déjeuner chez une amie de ma promo (avec qui j’avais fait ma prépa aussi) et qui habitait dans la même résidence que moi, à l’étage au dessous. Je me rappelle de la douceur de la tomate, du piquant de la moutarde, du petit conseil qui va bien (« une pincée de sucre pour enlever l’acidité des tomates »). Un plat simple et pourtant si savoureux !
Et puis dans le Elle à Table de mai-juin, une recette. Ni une, ni deux, je me lance, la madeleine de Proust se met en branle, il faut absolument que je teste ! J’ai un peu modifié la recette (comme d’habitude), en y ajoutant de la mozzarella notamment.
Ingrédients :
1 pâte brisée (maison ou pas, comme vous voulez)
6 tomates noires de Crimée (je n’ai trouvé que des cœur de bœuf, et j’en ai mis 2 grosses)
250g de tomates cerises
1 cuillère à soupe de crème fraîche (crème de soja pour moi)
1 cuillère à soupe de moutarde forte
poivre, sucre, thym (frais ou séché, mais frais ce doit être meilleur), piment d’espelette (moi j’ai mis du curcuma à la place)
Ajout personnel : une boule de mozzarella
Préparation :
Allumer le four sur Th6 / 180°C. Étaler la pâte sur le plan de travail fariné, la mettre dans le moule chemisé de papier sulfurisé et piquer de plusieurs coups de fourchette.
Mélanger la crème et la moutarde, répartir le mélange sur la pâte. Couper les grosses tomates en rondelles. Les disposer sur la pâte, saler, poivrer, saupoudrer d’épices et de sucre et faire cuire au four 20 minutes environ.
Sortir la tarte du four (ne pas l’éteindre !), ajouter la mozzarella coupée en tranches, les tomates cerises (entières c’est mieux, coupées elles rendent du jus…) et le thym et poursuivre la cuisson de 20 minutes environ.
Je suis contente d’avoir retrouvé ce goût qui m’avait tant plu il y a quelques années, ce mélange moutarde-tomate particulièrement savoureux. La mozzarella et le thym apportent leurs saveurs respectives. L’ensemble est à la fois doux et un peu piquant, vraiment bon.
J’en ai parlé, j’ai essayé plein de choses, et, finalement, les voilà, ils sont posés !
Quand j’ai vu le résultat, j’en ai pleuré tellement c’était beau. D’ailleurs je n’en reviens toujours pas que ce soit si beau.
Bon, bien entendu, au moment de les prendre en photo, je n’ai pas su comment m’y prendre (je ne sais toujours pas d’ailleurs) (je suis preneuse de tout conseil sur la prise de rideaux en photo, merci). Alors j’ai fait avec les moyens du bord.
Mes photos ne rendent pas du tout compte de la beauté du rendu, des couleurs et de la luminosité apportées par les deux panneaux latéraux roses (raccord avec le canapé oblige) et les deux panneaux centraux blancs ajourés.
C’est beau. Je suis contente. Je pourrais passer ma journée à regarder mes rideaux et la lumière qui passe au travers. J’aime.
Un peu de couleur et de douceur, un peu de satisfaction après tant de frustration et d’énervement, vraiment c’est bon à prendre.
Et pour ceux qui s’interrogent, la totale vient de chez le suédois, Ikéa, of course.
Ce roman, cela fait un moment qu’il est dans la liste des livres que je veux lire. D’ailleurs, il est dans mon cahier d’inspirations, entouré de plein d’autres. Et puis un jour, on m’a offert un peu d’argent, je suis partie avec à la Fnac et je l’ai tout naturellement pris avec quelques congénères.
Ce roman, c’est un instantané de la vie de trois femmes. Makiko, qui veut se faire refaire la poitrine, vient rendre visite à sa sœur Natsu à Tokyo avec sa fille, Midoriko. Ce petit morceau de vie est raconté à deux voix: tour à tour Natsu raconte se qui se passe, puis Midoriko, via son journal intime. Chacune raconte avec ses mots et sa sensibilité ce qui se passe, ses états d’âme, son analyse de la situation.
Car la situation est un peu complexe : Midoriko est en pleine crise d’adolescence et a cessé de parler. Chacune des trois femmes a ses lubies (Natsu compte les marches des escaliers qu’elle emprunte), ses obsessions (Makiko parle sans interruption de son intervention à venir) et tout ceci se positionne sur fond de conflits familiaux, de l’absence de l’homme (Midoriko ne connaît pas son père).
Dit comme cela, le livre pourrait paraître triste mais en fait pas du tout, car chacun des sons de cloche de l’instant est raconté avec une sensibilité, une analyse qui lui est propre. D’ailleurs, le roman est léger, parfois drôle, parfois interrogateur, mais toujours divertissant. La part belle est laissée à l’imagination, on se surprend à se croire spectateur de la scène… On part pendant quelques instants à Tokyo, partager un moment de vie avec 3 hôtesses farfelues et dynamiques et on s’éclate !
Lorsque j’étais pré-adolescente, j’avais comme amie une brune aux yeux marrons avec un succès plus que certain auprès de la gent masculine (ce qui n’était pas mon cas) (de toute façon mon frère aurait étripé n’importe quel homme qui se serait approché de moi à l’époque). Cette fille, loin d’être satisfaite de ses (nombreux) prétendants, nourrissait un complexe énorme vis à vis de ses yeux marrons. Elle aurait voulu avoir les yeux bleus, elle pensait que ses yeux marrons nuisaient à son charme.
Quelle ne fut pas ma surprise en la voyant arriver un jour avec les yeux bleus ! Elle avait acheté des lentilles de contact colorées, et toute fière de ses nouveaux yeux, elle voulait tester son « nouveau » pouvoir de séduction. Qui, bien entendu n’avait pas failli.
Bref. On en a profité pour discuter, et je lui ai avoué que moi je n’aurais pas voulu avoir des yeux bleus ou verts, mais des yeux gris.
Et, même après cette conversation, j’avoue que je n’avais pas pensé sauter le pas et m’offrir des lentilles de couleur pour voir ce que cela pourrait donner. Jusqu’à ce que Mathilde de Mister Spex (site qui propose, entre autres, des lentilles de contact en ligne), me propose de me faire tester des lentilles. J’ai donc choisi des Freshlook one-day color (sans correction, mais elles existent avec, hein) (sauf que moi, je ne me rappelais plus de celle dont j’ai besoin alors…).
Dans la boite, il y a 10 petits étuis avec la lentille et du liquide stérilisé. Soit 5 jours de lentilles, puisque les lentilles ne se gardent qu’une journée. L’avantage, c’est qu’il n’y a pas besoin de produits d’entretien particuliers, seulement de suivre des règles d’hygiène pour pouvoir les porter sans risques.
Mais avant de vous montrer ce que cela donne avec les lentilles, ce serait pas mal que je vous montre la couleur de mes yeux au naturel, non ?
Ici mon œil droit, au naturel, pris en photo avec mon téléphone, dans une salle de bains et à la lumière artificielle.
Ici l’œil gauche, pris en photo avec l’APN, à la lumière naturelle (sans épilation des sourcils, mais avec les imperfections de peau, au naturel quoi). J’ai donc des yeux marrons, plutôt jolis je trouve. Enfin, je n’ai jamais fait de complexe tonitruant vis à vis de mes yeux (j’en ai bien d’autres !). D’ailleurs, je n’ai pas le souvenir de quelqu’un dénigrant mes yeux.
Et donc avec les lentilles et à la lumière artificielle, voici ce que cela donne. Les yeux sont beaucoup plus clairs, gris bleutés, et paraissent tellement plus grands ! J’ai été surprise de constater que finalement… Ben ça m’allait plutôt bien !
J’ai d’abord essayé les lentilles un dimanche, pour m’habituer à les mettre, à les porter et à me voir avec les yeux gris. Puis je les ai portées lors de mon déplacement professionnel à Bordeaux et enfin samedi dernier, pour voir des amis. Alors bien sûr, les gens qui me connaissent ont bien remarqué que quelque chose avait changé, sans pour autant que ce soit flagrant. On m’a dit que j’avais bonne mine, mais, du moins pas avant que je le révèle, personne n’avait remarqué que je portais des lentilles. Ce devait donc être naturel, ce qui me va plutôt bien !
*** Concours***
Maintenant, si vous le souhaitez, c’est à vous d’avoir l’opportunité de tester les lentilles de couleur ou tout autre produit, puisque Mathilde me propose de faire gagner 5 codes de réduction ouvrant droit à -20% sur tout le site Mister Spex.
Pour participer, c’est très simple, il vous suffit de me raconter en commentaire quelque chose à propos des lunettes ou des lentilles (une expérience, une envie, etc.).
Vous avez jusqu’au 30 juin 2012 pour participer. Le tirage au sort sera fait dans la foulée et les gagnants annoncés dans un article.
N’oubliez pas de me laisser une adresse mail valide dans le champ « adresse mail » du formulaire de commentaire pour que je puisse vous contacter !
Bonne chance à tous !
*** Le concours est terminé, merci aux participantes ***
A la base, j’aime bien faire de jolis paquets cadeaux. Des paquets soignés, pas forcément très colorés, mais sobres tout en étant joyeux. Je pars du principe qu’un joli paquet cadeau participe à un chouette cadeau.
D’ailleurs, je prends toujours beaucoup de temps à ouvrir mes paquets cadeaux, sans déchirer le papier (quand je peux). C’est mon petit plaisir qui me fait durer l’excitation de la découverte.
Samedi, je devais retrouver des amis en ville. Parmi eux, une amie (celle au manteau orange) avait pris un an il y a peu. J’ai donc demandé si je devais amener le cadeau (demain c’est l’anniversaire de Ju, je ne savais pas si on fêtait les deux ensemble ou pas), et la réponse fut oui.
Et là, le drame. On avait choisi de lui offrir un portrait d’Audrey Hepburn fait par ByGlam. Mais comment diable envelopper un tel cadeau ? En moins de 20 minutes qui plus est, et sans trop de fournitures à disposition…
J’ai donc fouiné un peu partout, ai rassemblé tout ce qui pouvait servir et je me suis lancée !
Pour réaliser ce paquet, j’ai utilisé : une enveloppe kraft (celle qu’on envoie pour les bulletins des élections), un feutre à embout pinceau, un magazine avec des publicités grand format (Elle), des rubans (issus d’un kit à scrapbooking), des nœuds en papier, de la colle, du masking tape, une paire de ciseaux et un gabarit pour les ronds (un petit pot à sauce soja dans mon cas, mais ça marche avec un verre, un bouchon de bouteille en plastique…).
1ère étape (de loin la plus fastidieuse): découper les ronds. Il faut sélectionner des publicités avec des couleurs et des textures jolies (ici il y a, entre autres, une publicité Dior, une Petit Bateau, une pour une agence de voyage, une pour du chocolat, une pour du parfum, etc.). Pour gagner du temps, j’ai passé la paire de ciseaux (fermée) sur le gabarit en appuyant un peu sur le papier, ce qui finit par « gratter » la couleur et par pré-découper le papier (ce qui évite de faire le contour au crayon, puis de découper). J’en ai fait 12 (voir le dos de l’enveloppe plus bas).
Ensuite, il s’agit de disposer les ronds de manière harmonieuse, puis de les coller (j’ai collé avec de la colle à scrapbooking). Si vous pensez mettre des rubans, gardez des ronds pour cacher le raccord. Pour éviter que l’enveloppe gondole, placer l’enveloppe sous une pile de livres en attendant que cela sèche (comme ça, vous pouvez aller chercher le reste des fournitures).
Une fois que cela ne craint plus rien, préparez les rubans. Découpez les à la bonne taille et fixez les avec un petit morceau de masking tape (ou de scotch, mais je ne retrouvais plus le mien !) au dos de votre paquet. Avec les petits ronds qu’il vous reste, cachez la misère.
Vous pouvez là encore faire séjourner le paquet sous une pile de livres pour que le papier ne gondole pas.
Maintenant, vous pouvez agrémenter de nœuds en papier et écrire un petit mot au destinataire.
20 minutes plus tard (le plus long étant de découper les ronds), vous avez un paquet cadeau fait main, inimitable et personnalisé qui fera son petit effet !
Facile, non ?
PS : Je n’y ai pas pensé sur le moment, mais vous pouvez rajouter des paillettes, des stickers, bref, tout ce qui pourra donner un petit air festif à votre paquet !
Aujourd’hui, nous ne parlerons pas de vampires, ni de livres et encore moins de cinéma. Tout simplement parce que Twilight c’est le nom d’une ballistics de Lush (oui, encore).
Comme d’habitude les dernières fois, je suis allée chez Lush parce que j’avais envie de me prendre un bon bain et de me détendre.
Une trempette avec cette ballistics relaxante à la lavande et au benjoin vous assurera un sommeil réparateur.
La ballistics est assez grosse (200g, comme le Grand Bleu), rose avec des étoiles et lunes en relief. Elle sent effectivement bon la lavande.
Elle est assez longue à se dissoudre dans l’eau du bain et ce qui est rigolo (et qui ne se voit pas du tout sur la photo) c’est qu’elle colore l’eau du bain en bleu nuit et qu’elle diffuse des paillettes ! Le parfum est sensationnel, vraiment relaxant. Alors certes, on met des paillettes partout (j’en retrouve encore, notamment sur le tapis de bain…) et c’est assez énervant à enlever, mais quel bonheur ce bain parfumé !
On a l’impression d’être plongé dans la nuit étoilée, on est enveloppé d’un parfum doux, on se détend, on joue avec les paillettes (oui je joue dans mon bain) (à Montréal, j’avais des petits canards en plastique, je jouais pendant des heures dans mon bain) (une vraie gamine) (alors que petite, c’était avec une tortue en plastique que je jouais dans le bain) (étonnant?) (elle s’appelait Totue elle aussi…).
Bref, un bon moment, plein de douceur, comme je les aime…
PS : Papa si jamais tu retrouves Totue dans les cartons, je veux bien l’accueillir sur le rebord de ma baignoire !
Ce qu’il y a de bien avec les paquets de la lovely dozen, c’est qu’ils arrivent toujours au moment où il faut : quand je suis fatiguée, passablement de mauvais poil ou que j’ai besoin de me changer les idées. Ce colis de mai (arrivé en juin, certes, mais il vient des USA) confirme l’équation : ce qui me plait + moment adéquat = sourire béat pendant 1/4 d’heure.
Je vous montre ?
Autant le dire tout de suite, ce petit paquet, comme le précédent est emballé de manière absolument exquise. Le genre de truc qui me fait pousser des petits cris, quelque part entre le miaulement et le « ih » caractéristique de l’adolescente.
Un cri/gémissement très distingué donc.
Le thème de ce mois-ci (enfin du mois dernier en fait) c’est « snail mail », le courrier donc. Ce qui m’enchante, vu la grande passion que je voue aux papeteries, à la correspondance et tout ce qui se rapproche de ces univers…
Ce paquet m’a encore plus plu que le précédent. Peut être que les petites cartes vintage y sont pour quelque chose. Peut être que c’est parce qu’il y a écrit « happy day » sur le stylo vert. Peut être que c’est parce que je trouve l’idée des enveloppes dans lesquelles ont peut mettre un petit mot vraiment mignonnes. Peut être que c’est le côté kawaï des stickers et des petites cartes d’anniversaire qui m’ont attendrie.
Ce début de semaine, j’étais en déplacement professionnel à Bordeaux. Je suis partie avec mon amie Annoche (avec qui je travaille) et, malgré les diverses réunions et le temps un peu capricieux, nous en avons profité pour crapahuter un petit peu dans ma ville natale…
Quelques petits photos du coin donc…
Dommage que l’appareil photo de mon téléphone soit si capricieux, nous avons vu bien d’autres choses, mais je n’ai pas réussi à prendre de photo potable… Sur le coup je pensais que oui, mais en regardant mes photos, je me suis rendue compte que beaucoup étaient floues…
Nous avons passé la nuit à la Cour Carrée. C’est un petit hôtel très sympathique : l’accueil y est chaleureux, c’est calme. Les chambres dans lesquelles nous logions étaient assez petites, mais confortables.
Enfin, une adresse très chouette où nous avons dîné, La Côte de bœuf !
La salle, un peu dans le style d’une véranda, est spacieuse, lumineuse, très agréable avec la végétation.
Le service est très agréable et attentionné (le petit cocktail avec la verrine de saumon à l’aneth en guise de bienvenue, très sympa). La nourriture est vraiment bonne, sans chichis (le poulet est délicieux, et ce jus, ce jus ! Un dé-li-ce !). Bien entendu, on a beaucoup trop mangé, mais après le sandwich dans le train et les réunions, c’était un vrai plaisir !
Finalement, même si on y est allées pour le travail, cette petite escapade était bien sympathique !
Hôtel la Cour Carrée – 5 rue de Lurbe 33000 Bordeaux – Téléphone : 05 57 35 00 00
Restaurant la Côte de Boeuf – 49 rue Lafaurie de Monbadon 33000 Bordeaux – Téléphone: 05 56 44 03 35
Cette recette est issue d’un Elle à Table de 2011 que j’ai découpée et collée dans mon cahier d’inspiration. A l’heure de la réalisation, je l’ai bien entendu adaptée au contenu de mon réfrigérateur et des denrées disponibles (et de mes goûts, cela va de soi).
Ingrédients :
Pour la pâte à tarte :
250g de farine fluide
150g de beurre mou
5 cuillères à soupe de lait (de vache ou végétal, j’ai utilisé du lait de soja)
2 pincées de sel
Pour la garniture :
2 (petits) bouquets de brocolis
3 œufs
20cl de crème fraiche épaisse
100g de parmesan râpé
1 cuillère à café de curcuma
sel et poivre
Réalisation :
Pour la pâte :
Dans un récipient, mélanger rapidement tous les ingrédients jusqu’à l’obtention d’une pâte souple.
Rouler en boule, filmer et mettre au frais 30 minutes.
Après 30 minutes, étaler la pâte finement (ce que je suis incapable de faire), la disposer dans un plat à tarte chemisé de papier sulfurisé. Mettre au congélateur 5 minutes.
Préchauffer le four thermostat 6 / 180°. Enfourner la pâte environ 10 minutes, le temps qu’elle durcisse sans colorer.
Pour la garniture:
Faire blanchir les bouquets de brocolis 2 minutes dans de l’eau bouillante salée. Les égoutter.
Mélanger les œufs, la crème, les 2/3 du parmesan, le sel, le poivre et le curcuma.
Répartir dans le plat à tarte les brocolis et la crème au œufs. Saupoudrer le parmesan restant dessus, poivrer.
Enfourner 30 minutes à 180° / th6. La tarte doit être bien dorée.
Bon appétit !
La tarte est délicieuse ! Je vous conseille de la déguster tiède ou froid, avec une bonne salade !