Pour atteindre ses objectifs, il faut déjà s’en donner les moyens…
J’ai donc opéré samedi dernier, armée d’une liste (oui, quand même), une petite expédition à la Fnac et j’en suis repartie avec les 7 livres ci-dessus.
Sur les 7, 3 ne font pas partie de ma sélection de mon cahier d’inspiration (les 3 du haut). Sur ces 3 là, deux m’ont été conseillés (celui du milieu par des personnes ayant commenté ici, celui de droite c’est ma psy qui me l’a conseillé) (il y a 2 mois, certes, mais quand même), un (celui de gauche donc) remplace un de ma sélection du cahier d’inspiration que je n’ai pas trouvé, mais j’aime beaucoup ce que fait Olivia (et je vais vous en reparler de ce livre, billet fleuve à prévoir).
Sur les 7, il y en a deux que j’ai déjà lus (alors que je les ai achetés samedi): celui en haut à gauche et celui en bas à droite (on y reviendra vite, ne vous en faites pas) et un que j’ai entamé au moment où j’écris l’article (dimanche soir), c’est celui en haut à droite, très intéressant (on y reviendra sans doute aussi).
Sur les 7, il y en a un qui sera avec moi quand vous lirez l’article, c’est celui du milieu en haut (je suis en déplacement jusque mardi soir). S’il est aussi bon que le précédent, je pense que je l’aurai fini en rentrant.
Avec tout ça, on ne va pas manquer de billets littérature/culture. Tiens d’ailleurs, d’autres lectures à me conseiller ? Vous avez préparé une liste de bouquins pour cet été ?
PS : Alors certes ces achats vont m’aider à lire les 10 livres du cahier d’inspirations, mais pour ce qui est de trouver une solution pour ranger mes livres, cela ne va pas me faciliter la tâche…
Je crois que j’aime faire des listes. Je crois que j’aime encore plus me fixer des objectifs (même si je ne réalise pas tout, cf. la 12 by 2012, ahem…).
Alors quand j’ai vu ce genre de listes (ici, ici ou là), je me suis dit que l’idée était intéressante… Voici donc 28 choses que je voudrais faire avant mes 29 ans.
A suivre donc !
PS : Les nœuds, c’est pour faire joli, mais aussi pour montrer que ça marche aussi avec une photo de magazine (mais c’est plus joli sur fond clair que foncé, les pliures se voient trop sinon). Oui je compte vous parler un peu du cahier d’inspiration. Oui j’ai acheté le cours « Art Journal All Year », de même que j’ai acheté le « Blog Love » que j’adore. Et si vous n’arrivez pas à lire mon écriture, faites moi signe en commentaire, je retranscrirai la liste !
Ce petit bouquin, comme on peut le voir sur la couverture, je l’ai reçu en cadeau en achetant d’autres livres. Et je ne sais pas ce qu’il en est de votre côté, mais moi, quand je reçois ce genre de livre cadeau, je ne m’attends pas à quelque chose d’extraordinaire. Je ne sais pas vraiment pourquoi, peut être que je ne prends pas l’ouvrage au sérieux, je ne sais pas.
Néanmoins, pas question de l’oublier et de ne pas l’ouvrir : quand j’ai un livre sous la main, je le lis jusqu’au bout (sauf si je n’accroche vraiment pas) (mais je suppose que c’est pour tout le monde pareil).
Et dans le cas de ce livre, ce fut une bonne idée de se plonger dedans ! Ici, Blaise Cendrars raconte 7 histoires vraies, toutes plus charmantes et entrainantes les unes que les autres. La première est celle que j’ai le plus aimé, déjà parce que le sigle qui lui sert de titre est rigolo (T.P.M.T.R.), ensuite parce que l’histoire est pittoresque et enfin parce que les personnages sont très attachants.
Dans les autres, on découvre tour à tour des sites merveilleux (la description de l’Amazonie est à tomber par terre !), des histoires de cowboy, des histoires de l’armée… Il y a des personnages hauts en couleur, des descriptions de situations vécues très réalistes et distrayantes (p 56):
J’aimais bien patrouiller avec lui, car, en patrouille, notre entente était parfaite; mais une fois rentrés, cela ne durait pas. D’ailleurs personne ne pouvait s’entendre longtemps avec Griffith qui avait un caractère difficile et ombrageux, aussi personne ne l’aimait-il. Il n’était pas liant, pas causant. Il se tenait volontairement à l’écart, fumant sa pipe, hostile, et il ne desserrait les dents que pour gueuler. Je n’ai jamais entendu quelqu’un d’aussi mal embouché de lui, et quand Griffith remettait en place un malabar qui avait essayé de le charrier, ou un tire-au-flanc, qui avait voulu le faire marcher, ou quand il se mettait à râler après le jus, le tabac ou le rabiot de pinard dont il surveillait fébrilement la distribution, ce petit bout d’homme taciturne et morose et étourdissant, tant par sa verve, sa rage, sa violence exagérée que par l’inattendu de ses invectives qui sortaient à jet continu, par le pittoresque de son vocabulaire farci de gros jurons de palefrenier et d’énormes cochonneries, par la drôlerie de son accent inimitable, mi-partie cockney et bellevillois.
En résumé, ce n’est pas le chef d’œuvre du siècle, mais c’est un ouvrage qui a eu le mérite de me distraire dans une période un peu morose. Et ça, je suis pour ! A noter aussi, à la fin de l’ouvrage, une biographie de l’auteur, très instructive.
Il y a quelques temps, pour mon anniversaire, des amis m’avaient offert un kit pour faire un cake au nougat et aux cranberries. Ce qui était à la fois franchement bien trouvé (parce que le nougat c’est bon, les cranberries aussi, et alors les gâteaux n’en parlons pas) et aussi un peu étonnant (le mélange nougat-cranberries m’étant complètement inconnu et étant quelque chose que je n’aurais pas eu l’idée de tester).
Sauf que. Le cake sucré, c’est bon, mais quand on est toute seule c’est pas forcément facile de le manger suffisamment rapidement pour ne pas qu’il sèche. En gros, c’est bon mais pas pratique pour la jeune femme célibataire que je suis.
Du coup, j’ai préparé l’appareil, ce qui était plus que facile (par contre, les nougats et les cranberries avaient collé au sucre, alors forcément j’en ai mis partout lorsqu’il a fallu les couper) (les nougats et cranberries, pas les grains de sucre hein). Et puis je me suis dit que je pouvais bien en faire des muffins plutôt qu’un cake : en les enveloppant dans du papier film et en les mettant dans une boîte hermétique, ça devrait bien se conserver.
J’avoue que je ne m’attendais pas à ce qu’il y en ait autant. 10 muffins, ça commence à faire beaucoup de pâtisseries à manger quand même. J’ai cuit le tout, comme préconisé (mais un peu moins longtemps, pour pas que ça soit carbonisé ou trop sec…), j’ai attendu que ça refroidisse et j’ai goûté.
Le mélange est étonnant mais c’est très bon. Les morceaux de nougat ont fondu à la cuisson, les cranberries sont moelleux. Finalement, vu qu’il y en avait quand même beaucoup, j’ai ramené la moitié à mes collègues, qui ont goûté et m’ont demandé s’il n’y en avait pas d’autres (mes collègues râlent toujours parce que je leur amène régulièrement des pâtisseries, mais apparemment jamais assez) (même quand je ramène une vingtaine de canelés, c’est dire).
Et je n’ai eu aucun mal à les finir sans les laisser sécher !
Le thème pour ce mois-ci est le rehaussement créateur…
Avez-vous des fleurs fraîches chez vous ?
Je ne sais pas vraiment ce que l’auteur entend par fleurs fraîches : des fleurs coupées ou bien des plantes ? Je n’ai pas de bouquet de fleurs coupées (car pas de vase, CQFD), en revanche j’ai quelques plantes…
Déjà, à l’intérieur, j’ai deux Celosie Caracas, que j’appelle affectueusement « mes plumeaux ». Celui du fond, c’est le plus vieux (rappelez vous) (c’est maman plumeau), celui de devant (bébé plumeau donc) est celui que j’ai acheté pour remplacer le Kalanchoé que m’avait offert Poppy lorsqu’elle était venue à Toulouse.
A côté de la baie vitrée, les Daltons. Au fond, avec les petites feuilles, le bonzaï qui se plait ou pas suivant le voisin qu’il a. Du coup, à côté de lui, une orchidée achetée 6€ : elle n’était pas très jolie à la base, mais j’aimais bien la couleur de ses feuilles. C’est la plus jeune de toutes, je ne sais pas comment elle fleurit (et je ne sais pas si elle fleurira ou pas). Dans le pot rose, une orchidée qui fait de petites fleurs violettes toutes mignonnes. Elle pousse bien, elle a décidée qu’elle allait se coller à la baie vitrée. Quand le temps aura fini de changer tous les 2 jours, je la mettrai sur le balcon avec ses copines orchidées (en espérant que le bonzaï ne râle pas, parce que lui ne peut pas aller dehors à cause du vent). Au premier plan, une orchidée qui m’a été offerte et que j’ai replantée parce que ses racines avaient tellement poussé qu’elles menaçaient de faire casser le pot en plastique. Il paraît qu’il ne faut pas replanter les orchidées, mais celle-ci a l’air assez conciliante.
Et enfin, sur le meuble TV, à côté du téléphone, la petite cactée que l’on m’a offert pour mes 28 ans, que j’ai rebaptisée « l’artichaut ». Pas contrariante pour un sou, elle a l’air de se plaire là.
Sur le balcon, le dipladenia offert pour mon anniversaire et le pernettya (qui fait des petites fleurs comme des clochettes, c’est trop chou). Je fais assez attention au dipladenia qui craint quand même les grosses bourrasques de vent et qui cherche à s’accrocher à tout et n’importe quoi. Je pense d’ailleurs le changer de place et le mettre à côté du poteau du balcon, au moins il pourra grimper (mais comment je vais faire quand je vais partir, hein ?).
Avez-vous des photographies dans votre chambre ?
Pas de photographies, mais un tableau et une carte encadrée.
Ce tableau, je l’ai acheté en Crète il y a quelques années. Il était dans un premier temps dans ma chambre, puis il est venu avec moi dans mon studio quand j’étais en école de commerce et maintenant il est dans ma chambre à Toulouse. Je ne crois pas que je l’avais emmené à Montréal.
Cette petite carte, je l’ai achetée au Mont Saint-Michel lors de mes vacances en Bretagne. Je la trouvais positive et révélatrice du quotidien d’une vie, du chemin que je voulais prendre. Elle représente une petite fille qui jardine, et les plantes ont pour racines la créativité, la confiance en soi, etc.
Portez-vous des couleurs qui vous enchantent ?
Au quotidien, au travail, je porte peu de couleurs (codes vestimentaires obligent) plutôt du noir, des couleurs neutres. De temps en temps, j’accessoirise avec des châles ou des écharpes colorées, ou je mets du vernis rose, rouge… Je ne peux pas me permettre trop de fantaisie (mais c’est sans doute un frein que je me mets à moi-même aussi, hein). Le week end, je porte un peu plus de couleurs, mais j’ai peu de vêtements colorés dans ma garde robe en fait.
Pouvez-vous sentir votre parfum préféré ?
J’ai le même parfum depuis des années. J’ai essayé d’en changer, mais je reviens toujours au même. Sinon, au quotidien, j’utilise des produits de beauté dont les parfums m’enchantent (le monoï en ce moment…). Et dans le salon, je fais parfois brûler un bâtons d’encens aux fleurs de cerisier, une odeur que j’affectionne particulièrement.
Avez-vous un livre de chevet qui vous inspire ?
En ce moment je me régale en lisant le livre sur l’histoire de l’art que je me suis achetée. Sinon, en livre de chevet indétrônable, il y a l’Art de la Simplicité, fidèle parmi les fidèles depuis 2005.
Avez-vous écouté une musique spéciale au cours des dernières 24h ?
J’ai écouté le deuxième CD du coffret de musiques de relaxation de Natures et Découvertes. J’aime beaucoup ce disque, je trouve les musiques très belles et très relaxantes.
Combien de temps s’est écoulé depuis votre dernière promenade dans la campagne ou au bord de la mer ?
La campagne j’y étais en Avril pour l’anniversaire de mon papa. La mer par contre, ça fait un petit moment que je n’y ai pas mis les pieds, sans doute depuis l’hiver.
A quand remonte la dernière fois que vous vous êtes préparé un repas spécial ?
A mon anniversaire, donc ça ne fait pas si longtemps que cela. Mais je me concocte rarement des repas spéciaux (sauf quand je suis malade).
Les vêtements que vous portez sont-ils confortables, vous plaisent-ils ?
Pas vraiment. Ils sont pratiques surtout (discrétion, passe-partout, etc.).
Les questionnaires précédents sont ici : #1, #2, #3, #4.
Parfois, on a juste envie d’un petit moment de douceur : la journée a été rude, le sport nous a épuisé, la semaine qui s’annonce va être chargée en réunions, ou que sais-je encore. Dans ces moments là, je prends mon parti de m’accorder une petite pause rien que pour moi et mon bien-être: manger un bon biscuit, déguster un bon thé, faire un peu de yoga, me vernir les ongles, lire un bon bouquin, faire brûler de l’encens, aller me balader dans un parc, faire les boutiques avec une copine, découper des magazines pour alimenter mon carnet d’inspirations ou encore prendre un bain.
Rien de pire qu’un mauvais sentiment qui s’installe et contre ça, rien de mieux que prendre soin de soi, se chouchouter, faire quelque chose qui nous fasse vraiment plaisir(et du bien, tant qu’à faire !).
Personnellement, j’affectionne beaucoup les bains parce que c’est ma petite parenthèse à moi, avec ma petite musique, mon bain moussant soigneusement choisi et parfois souvent un bon livre. Limite je trouve que c’est la meilleure invention de l’homme.
En ce moment, je découvre avec plaisir les Ballistics de Lush : après sex bomb et grand bleu, j’ai jeté mon dévolu sur la reine des roses. Déjà parce qu’elle est rose, ensuite parce qu’elle sent la rose, enfin parce que la description collait parfaitement avec l’idée que je me fais d’un bon bain bien réussi :
Un bain divin et fleuri pour les jours où vous voulez voir la vie en rose.
La ballistics est un peu plus petite que les précédentes que j’ai essayé, un peu moins colorée aussi. J’aime bien ce rose tendre et les fleurs que l’on imagine se disperser dans le bain, en même temps que leur doux parfum.
Comme les précédentes, une fois dans l’eau la ballistics se dissout assez vite, colore l’eau du bain et laisse s’échapper ses effluves. Ici, la reine des roses, bien que plus petite, met un peu plus de temps à fondre et l’eau se colore assez peu, elle devient rose tendre comme la boule avant immersion. Comme prévu, les fleurs s’échappent et flottent joyeusement à la surface de l’eau. Je trouve que ça fait presque comme les bains avec les pétales de rose que l’on voit dans les magazines, tellement chic et voluptueux !
Une fois plongée dans le bain, c’est le ravissement ! L’odeur est à tomber par terre, fleurie sans être entêtante : de la rose bien sûr, mais d’autres fleurs aussi (j’ai pensé au lys mais je ne suis pas sûre). On se détend, on se relaxe, on joue avec les fleurs (on ne se refait pas…).
Et puis quand on sort, la peau est douce, délicatement parfumée. Je me suis sentie complètement débarrassée de mes tensions, fraîche comme une rose, le sourire aux lèvres !
Je pense que cette Ballistics serait assez bien pour se préparer avant un rendez-vous galant (quoi que la sex bomb est très bien placée pour ça…), ou tout simplement pour recharger ses batteries lors d’une parenthèse fille.
C’est suite à la lecture de Paula que j’ai eu envie de lire un autre roman d’Isabel Allende, mais qui soit plus dans sa veine de conteuse en fait. D’où le choix d’Eva Luna.
L’histoire se passe quelque part en Amérique du Sud, dans un pays qui ressemble à la fois au Chili et au Venezuela sans que l’on sache très bien où l’on se trouve. Le roman raconte, bien entendu, la vie, plus que rocambolesque, d’Eva Luna, depuis sa conception jusqu’à son dernier nouveau départ. Mais il raconte aussi la vie de Rolf Carlé, elle aussi assez mouvementée.
Les deux histoires sont racontées par Eva Luna, inutile donc de vous cacher que ces deux là vont finalement voir leurs chemins se croiser, dans des circonstances complètement incongrues, liées à la guérilla. Un chapitre sur deux est consacré à la vie d’Eva, l’autre étant destiné à raconter celle de Rolf Carlé. Vers la fin, bien entendu, la distinction n’est plus aussi claire puisque leurs destins se mêlent, mais j’aime bien cette façon de raconter les histoires, avec deux personnes complètement différentes qui se croisent.
Le roman est parsemé de personnages hauts en couleurs qui donnent beaucoup de rythme et de folie au récit : il y a notamment une femme née dans un corps d’homme (= un travesti quoi) Melecio (qui vers la moitié du récit devient Mimi), le professeur Jones et sa technique d’embaumement ou encore Riad Halabi gentil tenancier de boutique avec un bec de lièvre. Tous ces personnages colorés n’iraient pas sans un cadre assez mouvementé, l’histoire se passe donc entre coups d’états, manifestations, guérilla, etc. sujets chers à l’auteure.
C’est un roman plutôt divertissant, bien ficelé, qui fait sourire malgré les moments difficiles que relate Eva Luna tant certaines situations sont cocasses et racontées avec humour. Ne cherchez pas à être pris aux tripes comme avec Paula, ce n’est pas le cas ici, mais pour ce qui est du voyage, vous ne serez pas déçus, il y a du rebondissement, plein de personnages attachants et une histoire pas commune.
Après mon premier essai d’une ballistics Lush, j’ai eu envie de réitérer l’expérience. C’est ainsi que samedi, avec Gazelle, je suis retournée dans la boutique toulousaine faire quelques emplettes. J’ai eu quelques difficultés à choisir et je suis repartie, entre autres, avec une ballistics Le Grand Bleu et j’ai eu en cadeau un échantillon du masque Miel Effronté.
Avec ces deux petites choses, je comptais bien me détendre, me retrouver dans une petite bulle de douceur et me faire du bien. La ballistics Le Grand Bleu est présentée ainsi :
Pour un bain bleu océan à la lavante et au citron, relaxant comme une thalassothérapie.
Ca donne envie, n’est-ce pas ? Cette boule bleue est assez grosse, du même format que la Sex Bomb que j’avais essayé précédemment. En la regardant comme ça, on s’attend juste à un gros galet effervescent (ce qui est déjà super intéressant, hein).
Lorsqu’on plonge la boule dans le bain, l’eau devient bleue, comme sous les sunlights des tropiques. Une douce odeur de lavande, d’algues et de citron se répand et rien qu’à l’odeur on se détend ! La lavande est réellement magique pour cela : quelques effluves et c’est comme si toutes mes tensions tombaient, que mes muscles retrouvaient une bonne place et une souplesse, je deviens un peu marshmallow quoi !
On ne voit pas très bien sur la photo, mais en fait il y a des petits morceaux (je pense que ce sont des algues ou des morceaux de lavande peut être…) qui sont dans la ballistics et qui s’échappent et flottent dans le bain quand elle fond. Ça peut paraître déconcertant au début (moi j’ai eu peur de boucher ma baignoire !) (mais en fait non), mais en fait ça fait vraiment bain de thalassothérapie (dit celle qui n’a jamais mis les pieds en thalasso) (ça se serait chouette) (quoi, mon anniversaire est déjà passé ? Ah…).
Une fois dedans, c’est vraiment un pur bonheur ! On se détend, ça sent bon (ça paraît évident, mais ça ne l’est pas toujours) (mais là, l’odeur m’a vraiment plue), la peau est douce parce qu’il y a comme un film hydratant qui se dépose sur la peau qui du coup reste parfumée pendant plusieurs heures (le lendemain, je sentais encore la lavande !).
Du côté du masque Miel Effronté, voici ce que nous dit la petite étiquette sur le pot :
Les herbes et les épices ayurvédiques nettoient la peau en profondeur et les coques d’amande moulues exfolient pour vous faire le teint éclatant. A utiliser quand vous avez honte de ce que vous avez fait à votre peau…
J’ai appliqué le masque en couche épaisse et j’ai laissé poser 5-10 minutes avant de le réhumidifier, de masser la peau et de rincer. L’odeur est agréable, la texture est assez souple et granuleuse, mais facile à appliquer et à rincer (un peu tenace, mais rien d’insurmontable). Justement, puisqu’on parle de texture, les grains sont assez gros : attention à masser doucement ! Peut être qu’à cause de cela, les peaux les plus sensibles ne le supporteront pas. J’avoue que j’ai été un petit peu irritée, surtout sur les ailes du nez, mais c’est aussi de ma faute parce que j’ai sans doute été un petit peu brute.
Au final, après rinçage, mon visage était tout doux, la peau lumineuse et souple. Quel bonheur ! (je ne me lasse pas de toucher une peau douce et veloutée) (j’aime ma peau, voilà c’est dit) (même si parfois elle m’agace)
Résultat des courses ?
J’approuve le Grand Bleu, qui m’a vraiment permis de me détendre et de passer un excellent moment. Le miel effronté par contre, je pense que je n’y reviendrai pas, car même s’il est efficace, les grains sont trop gros et agressifs pour ma peau qui a besoin de plus de douceur…
Non, je n’ai rien absorbé d’illicite, j’ai simplement fait une petite « découverte ».
Tout a commencé cet après midi, en discutant avec les collègues à propos des jeux vidéos old school. Vous savez les jeux vidéos de l’époque de Zelda 3 – A link to the past, Mario Kart ou encore Mortal Kombat III sur la Super Nes ? Voilà, ces jeux vidéos là.
Bref, on papote, et puis quelqu’un a commencé à dire qu’avec des vieux cheat codes (= les codes qui donnaient de petits bonus, genre des vies en plus, ou qui débloquaient des personnages) de l’époque, on pouvait changer parfois l’apparence de certains sites, etc. Genre il y en a qui ont perduré dans le temps (ah bon ?) et qui ont été réutilisés, même dans les jeux récents, même dans les sites web et autres. Moi je ne m’en rappelais que d’un seul (le plus connu…) et pour voir, j’ai essayé sur Hellocoton…
Et voilà ce qui est apparu (alors pour info, plus vous cliquez sur la souris plus il y en a qui s’affichent, c’est délicieusement kitsch !).
Et pour la manip à faire, cherchez il y a quelques indices dans l’article…
Edit du 24/05/2012 : Même si quelqu’un a trouvé, je vais vous donner la manipulation à faire. Déjà, il faut être connecté à Hellocoton. Ensuite, le code à taper, c’est le code Konami (le code le plus fameux) (un des indices concernait Mortal Kombat III, lorsqu’on tapait le code dans un sens on débloquait le kool stuff mode – je crois – et quand on le tapait à l’envers c’était le kooler stuff mode) (ou un truc du genre).
Le code Konami, c’est ça :
(pas besoin d’être en majuscule pour le « b » et le « a »)
Amusez-vous bien avec vos licornes !
PS : Après quelques recherches, on peut trouver la liste des sites qui utilisent le code Konami sur wikipédia.
Lorsque mon amie Annoche m’a offert, l’an dernier, le Bio Book, la recette de la fricassée de poulet aux poivrons et purée de noisettes avait attiré mon attention : que pouvait bien donner ce mélange, pour le moins original, de saveurs ? Le poulet j’aime. Le poivron aussi. La purée de noisettes, c’est en lisant le blog de Mély (Chaudron Pastel) que j’ai eu envie d’essayer et j’avoue que le goût est particulièrement addictif.
J’ai donc gardé la recette dans un coin de ma tête puisque lorsque j’ai acheté pour la première fois de la purée de noisette (il y a peu…) je l’ai juste mangée à la petite cuillère.
Ce week end, incroyable, j’avais tous les ingrédients à disposition, je me suis donc lancée dans la réalisation. J’ai un peu modifié les proportions pour répondre à ma consommation personnelle, mais l’idée de la recette reste la même.
Ingrédients (pour 3 personnes, ou 3 repas) :
1 (gros) poivron rouge
1 (gros) poivron jaune
1 (gros) poivron vert
2 oignons nouveaux (dans la recette originale ce sont des oignons rouges, mais j’ai fait avec les moyens du bord)
1 cuillère à soupe d’huile d’olive (dans la recette originale c’est du beurre, mais je trouvais que l’huile d’olive pouvait apporter quelque chose)
2 cuisses de poulets découpées (= 2 pilons + 2 hauts de cuisse)
2 cuillères à soupe de purée de noisettes
Sel et poivre
Réalisation (attention, c’est long !) :
Équeuter les poivrons, les épépiner et les émincer. Éplucher les oignons et les émincer.
Dans une cocotte sur feu vif, saisir le poulet dans l’huile chaude, le faire colorer sur toutes les faces. Ajouter les oignons et les poivrons, mélanger, faire roussir 20 minutes à feu doux.
Ajouter la purée de noisettes, saler, poivrer, mouiller avec 60cl d’eau. Baisser le feu et laisser mijoter 1h à feu doux.
Servir bien chaud.
Cette recette est une merveille ! C’est doux, il y a de belles saveurs, de belles couleurs, la sauce est di-vi-ne ! Le poulet est fondant et il est encore meilleur une fois réchauffé. A tenter aussi avec de la dinde, du canard ou de la pintade pour voir ce que cela donne. Et pourquoi pas avec d’autres légumes ?